Go First interdit de voler sur les avions des loueurs
L’année 2023 ne démarre pas de la meilleure façon pour la compagnie aérienne Go First, anciennement connue sous le nom de GoAir. La compagnie a été interdite de voler sur les avions des sociétés de location pour une période de trois mois.
Cette décision a été prise par les loueurs, qui accusent Go First de ne pas avoir respecté les conditions de location et de ne pas avoir effectué les paiements dus. En conséquence, la compagnie se retrouve clouée au sol depuis déjà trois mois.
Cette situation est très préjudiciable pour Go First, qui doit faire face à d’importants retards dans ses opérations et subit une perte considérable de revenus. Les loueurs ont décidé d’appliquer cette mesure afin de protéger leurs intérêts financiers et de faire pression sur la compagnie pour qu’elle règle ses dettes.
Les loueurs ont également exprimé leur inquiétude quant à la situation financière de Go First, et craignent que la compagnie ne puisse pas honorer ses obligations contractuelles à l’avenir. Cette interdiction de vol sur les avions des loueurs vise donc à contraindre la compagnie à régler ses problèmes financiers et à remettre ses paiements à jour.
Go First, de son côté, affirme être en négociation avec les loueurs pour trouver une solution et espère pouvoir reprendre ses activités le plus rapidement possible. La compagnie aérienne connaît en effet de grandes difficultés depuis le début de l’année et cette interdiction de vol vient encore aggraver sa situation déjà précaire.
Cette affaire met en lumière les défis auxquels sont confrontées les compagnies aériennes en période de crise économique et souligne l’importance pour elles de maintenir une gestion financière rigoureuse et de respecter leurs engagements envers leurs partenaires commerciaux.
Impact de l’interdiction de vol sur Go First :
L’interdiction de vol sur les avions des loueurs a un impact significatif sur les activités de Go First. Voici quelques-uns des effets négatifs de cette mesure :
| Effets négatifs |
|---|
| Perte de revenus importante |
| Retards dans les opérations |
| Détérioration de la réputation de la compagnie |
Go First doit désormais trouver une solution rapide pour régler ses problèmes financiers avec les loueurs, afin de pouvoir continuer ses activités normalement et retrouver la confiance de ses partenaires commerciaux.
Conclusion
La compagnie aérienne Go First se retrouve confrontée à une situation difficile, avec une interdiction de vol sur les avions des loueurs pour une période de trois mois. Cette mesure a un impact important sur les activités de la compagnie, qui doit maintenant trouver une solution rapide pour remettre ses paiements à jour et reprendre ses opérations normales.
La Haute Cour de Delhi refuse à Go First la permission de voler les avions des bailleurs pour l’entretien programmé
La Haute Cour de Delhi a ordonné à la compagnie aérienne Go First de ne pas voler les avions des bailleurs dans le cadre de l’entretien programmé. Depuis la mise à l’arrêt de la compagnie aérienne en mai, des questions se posent sur les avions loués par Go First. La compagnie n’a pas encore réussi à regagner la confiance de ses bailleurs, qui sont très sceptiques quant à l’avenir de leurs avions avec Go First.
Autorisation refusée
La Haute Cour de Delhi a statué que Go First ne peut pas considérer l’entretien programmé comme motif de voler les avions de ses bailleurs. Le tribunal a déclaré que le professionnel de la résolution (RP) qui gère les procédures d’insolvabilité de la compagnie aérienne n’a pas réussi à fournir de raisons convaincantes pour effectuer ces vols d’entretien.
En désaccord avec les bailleurs
Go First doit faire face à une série de problèmes, et l’un des plus importants est la détérioration de sa relation avec les bailleurs. Alors que les procédures de faillite ont donné à la compagnie aérienne un peu d’air, les bailleurs ne sont pas heureux des limitations imposées sur eux.
Chemin vers la reprise des vols
Pendant ce temps, Go First s’occupe de résoudre d’autres problèmes, notamment ceux liés aux finances, pour s’assurer que son deuxième mandat se déroule sans encombre. La compagnie aérienne prévoit de relancer ses opérations avec un financement d’environ ₹6-7 milliards ($72-84 millions), soit plus que le financement intérimaire initial de ₹4-5 milliards ($48-60 millions).
Tableau des barèmes
| Financement initial | Financement supplémentaire |
|---|---|
| ₹4-5 milliards | ₹6-7 milliards |
Go First devra cependant modifier son plan de reprise des vols pour obtenir les fonds supplémentaires. La compagnie devait initialement reprendre les vols avec une flotte d’environ 26 avions. Mais avec plus de financement, elle commencera à plus petite échelle avec environ 10-15 avions. Espérons que les prochaines semaines apporteront de meilleures nouvelles pour la compagnie.
Source: PTI via The Telegraph
Go First interdit de voler avec les avions des loueurs
Go First, la compagnie aérienne indienne, a reçu une interdiction de voler avec les avions des loueurs. Cette décision a été prise après que les loueurs aient reproché à Go First de ne pas avoir respecté les conditions du contrat. En conséquence, la compagnie a dû annuler plusieurs vols, ce qui a entraîné des désagréments pour les passagers.
Bonza propose des vols vers la Gold Coast en promotion
Bonza, la compagnie aérienne australienne, a ouvert les réservations pour les vols d’été vers la Gold Coast. Les billets sont en vente avec des tarifs promotionnels, ce qui permet aux voyageurs de profiter de réductions intéressantes. La Gold Coast est une destination prisée pour ses plages et ses parcs d’attractions, et cette offre spéciale devrait attirer de nombreux touristes.
Austrian Airlines enregistre un bon démarrage en 2023
Austrian Airlines a annoncé un excellent début d’année 2023, avec une augmentation significative du nombre de passagers. La compagnie aérienne autrichienne a levé toutes les restrictions et propose à nouveau des vols sans contraintes. Cette nouvelle a été accueillie avec enthousiasme par les voyageurs, qui peuvent maintenant planifier leurs déplacements en toute tranquillité.
La compagnie aérienne Air Antilles en liquidation judiciaire
La maison mère d’Air Antilles a été placée en liquidation judiciaire, ce qui soulève des inquiétudes quant à l’avenir de la compagnie aérienne. Cette décision a été prise en raison de difficultés financières, et il est probable que cela aura un impact sur les vols proposés par Air Antilles. Les passagers qui avaient prévu de voyager avec la compagnie doivent se renseigner sur les éventuels changements ou annulations de vols.
Accord de location humide entre Flair Airlines et Bonza
Flair Airlines et Bonza ont conclu un accord de location humide réciproque. Cela signifie que les deux compagnies aériennes pourront louer des avions les unes aux autres en cas de besoin. Cette collaboration vise à renforcer la flotte et à optimiser les opérations, ce qui bénéficiera aux voyageurs en offrant plus de flexibilité et de choix dans les destinations proposées.
Air New Zealand étend sa flotte avec les avions Mission Next Gen
Air New Zealand va élargir sa flotte en ajoutant les avions Mission Next Gen. Ces appareils plus modernes et économes en carburant permettront à la compagnie aérienne de proposer des vols plus respectueux de l’environnement et de répondre à la demande croissante des passagers. Air New Zealand continue ainsi de renforcer sa position de leader dans le secteur de l’aviation en Nouvelle-Zélande.
