Flight Training Academies Are Facing A Shortage Of Training Aircraft
Les académies de formation de pilotes aux États-Unis sont confrontées à une pénurie d’avions d’entraînement, ce qui ajoute aux problèmes déjà existants de pénurie de pilotes qualifiés. Les nouveaux avions étant devenus trop chers, il est devenu difficile pour les petites écoles de vol de se les procurer. Les solutions envisagées pour remédier à ce problème incluent l’approbation d’avions légers de sport pour la formation des pilotes, la réduction des coûts des nouveaux avions ou le développement d’avions électriques avec une plus grande autonomie et des batteries interchangeables.
Il est bien connu que les compagnies aériennes aux États-Unis font face à une pénurie de pilotes qualifiés, et l’idée de réduire les heures de vol requises a été évoquée à de nombreuses reprises. Cependant, le problème moins connu est que les académies de formation commencent également à rencontrer une pénurie d’avions d’entraînement.
Le mois dernier, Simple Flying a interviewé Ed Davidson, directeur général de Skyborne Airline Academy US à Vero Beach, en Floride, à propos de la pénurie d’avions. Skyborne était autrefois connue sous le nom de Flight Safety International jusqu’en 2021, lorsque l’académie a été rachetée par Skyborne. Depuis 2021, 120 pilotes ont terminé l’ensemble du programme, tandis que 321 autres ont suivi différentes phases et ont achevé au moins un programme. L’académie affiche actuellement une capacité maximale avec 410 étudiants en formation, soit une augmentation de 38% par rapport à 2021.
En effet, aux États-Unis, la plupart des pilotes de ligne sont formés dans de petites écoles de vol, tandis qu’une plus petite proportion est formée dans des universités spécialisées telles que Embry Riddle, Purdue et Western Michigan. Certains pilotes passent également par l’armée de l’air avant de rejoindre les compagnies aériennes. Toutefois, il est devenu difficile de trouver des avions adaptés à la formation des pilotes, car les nouveaux avions sont devenus trop chers, surtout pour les petites écoles qui ont du mal à les financer.
Les constructeurs tels que Cirrus, Piper et Cessna se sont tournés davantage vers le marché de l’aviation d’affaires. Un avion neuf, comme le Cessna 172 Skyhawk ou le Piper PA-28 Cherokee, coûte désormais plus de 400 000 dollars. En plus du coût d’achat élevé, les écoles de formation doivent également faire face à des dépenses supplémentaires telles que l’entretien, les assurances et les coûts de carburant.
Parmi les solutions envisagées, l’approbation d’avions légers de sport pour la formation des pilotes pourrait être une option intéressante. Ces avions sont moins chers à l’achat et à entretenir, ce qui les rend plus accessibles aux petites écoles de vol. Une autre solution serait de revoir les coûts des nouveaux avions afin de les rendre plus abordables pour les académies de formation. Enfin, le développement d’avions électriques dotés d’une plus grande autonomie et de batteries interchangeables pourrait également être envisagé pour résoudre ce problème.
| Solutions envisagées | Avantages |
|---|---|
| Approbation d’avions légers de sport | Coûts réduits d’achat et d’entretien |
| Réduction des coûts des nouveaux avions | Accessibilité accrue pour les petites écoles |
| Développement d’avions électriques | Autonomie plus grande et batteries interchangeables |
Pénurie d’avions d’entraînement : Quelles solutions s’offrent aux compagnies aériennes ?
En raison de la hausse des coûts des avions neufs, il devient de plus en plus difficile de trouver des avions d’occasion avec une durée de vie suffisante pour l’entraînement. Ces avions plus anciens datent des années 1970-1980 et atteignent la fin de leur durée de vie pour des fins d’entraînement.
Lorsqu’on lui a demandé quelles solutions pourraient résoudre ce problème, Davidson a évoqué trois possibilités, mais toutes étaient difficiles. Premièrement, l’Administration fédérale de l’aviation (Federal Aviation Administration – FAA) pourrait approuver les avions légers de sport (light sport aircraft – LSA) pour l’entraînement des pilotes, ce qui ne serait qu’une solution partielle puisque les LSA diffèrent considérablement des avions d’entraînement actuels lors d’un vol transcontinental de 200 miles. Les LSA ne sont pas actuellement approuvés en raison des restrictions de poids, mais des discussions sont en cours avec la FAA pour changer cela.
Deuxièmement, les fabricants d’équipements d’origine (original equipment manufacturers – OEM) pourraient réduire les coûts des avions neufs, ce qui est peu probable compte tenu de la hausse des coûts des matériaux et de la main-d’œuvre dans le monde entier. La dernière option serait de commencer à utiliser des avions électriques pour l’entraînement, ce qui pose également un problème. Les avions actuellement disponibles sur le marché n’ont pas la portée nécessaire pour l’entraînement, et les batteries ne sont pas interchangeables. Il faudrait développer de nouveaux avions avec des batteries interchangeables et une plus grande autonomie, et doubler le nombre d’avions produits pour permettre aux académies et aux écoles d’avoir suffisamment d’avions pour l’entraînement.
La pandémie de COVID-19 et la retraite anticipée de nombreux pilotes ont entraîné une pénurie de pilotes formés aux États-Unis, et il y a maintenant un grand nombre de pilotes en formation qui n’ont pas suffisamment d’heures de vol pour travailler pour les compagnies aériennes. La pénurie supplémentaire d’avions d’entraînement pourrait constituer une grave menace pour l’industrie de l’aviation commerciale dans les années à venir, une industrie qui prévoit seulement une forte croissance.
Behind The Scenes: Etihad conduit un orchestre en plein ciel lors d’une cascade en parachute
Dans une cascade audacieuse et impressionnante, la compagnie aérienne Etihad a organisé un orchestre en plein ciel. Cet événement unique a été réalisé grâce à une équipe de parachutistes professionnels et de musiciens talentueux. Pendant que les parachutistes effectuaient des sauts en chute libre, les musiciens ont joué de la musique classique en parfaite synchronisation.
L’idée de cet orchestre en plein ciel est née de la volonté d’Etihad de repousser les limites de l’innovation et de l’expérience client. Cela a exigé une coordination minutieuse entre les pilotes, les parachutistes et les musiciens pour garantir la sécurité de tous les participants.
L’objectif de cette cascade était de créer une expérience unique pour les passagers d’Etihad, en combinant l’adrénaline de la chute libre avec la beauté envoûtante de la musique classique. Grâce à cette initiative, Etihad espère offrir des sensations fortes inédites à ses clients et se démarquer de ses concurrents dans l’industrie aéronautique.
Qu’est-ce que les agents fédéraux de l’aviation et sur quels vols voyagent-ils?
Les agents fédéraux de l’aviation, également connus sous le nom de Federal Air Marshals, sont des officiers spécialement formés qui opèrent dans le domaine de la sécurité aérienne. Leur rôle principal est de garantir la sécurité des passagers et de l’équipage à bord des vols commerciaux.
Les Federal Air Marshals voyagent généralement sur des vols à haut risque ou à destination de pays sensibles sur le plan de la sécurité. Leur présence à bord est souvent discrète, et ils sont spécialement formés pour réagir rapidement en cas de menace ou de situation d’urgence.
« Rotate! » – Pourquoi les pilotes disent cela au décollage
L’expression « Rotate! » est régulièrement utilisée par les pilotes au moment du décollage. Cela signifie que l’avion a atteint sa vitesse de rotation optimale et que le pilote doit tirer sur le manche pour faire décoller l’appareil.
Lorsque les pilotes disent « Rotate! », ils indiquent au copilote de tirer sur le manche pour lever le nez de l’avion et mettre fin au contact entre les pneus et la piste d’atterrissage. C’est la manoeuvre qui permet à l’avion de quitter le sol et de prendre son envol.
Investigations sur les crashs aériens : les trois phases cruciales
Les enquêtes sur les crashs aériens se déroulent en trois phases distinctes et cruciales. La première phase est l’enquête immédiate sur le terrain, qui vise à recueillir des preuves physiques, des témoignages et des enregistrements des communications.
Une fois que les éléments de la première phase ont été rassemblés, une deuxième phase d’analyse approfondie commence. Les enquêteurs examinent les données collectées pour identifier les facteurs contributifs au crash, tels que les erreurs de pilotage, les défaillances techniques ou les problèmes de sécurité.
Enfin, la troisième phase consiste à conclure l’enquête et à publier un rapport final. Ce rapport inclut des recommandations pour améliorer la sécurité aérienne et prévenir de futurs accidents similaires. Il est crucial que les conclusions de ces enquêtes soient partagées avec l’industrie de l’aviation afin de garantir des voyages aériens plus sûrs pour tous les passagers.