Le parking de l’aéroport de Brisbane se met au vert pour 66 cents
Le Brisbane Airport, premier aéroport à adopter une approche zéro émission nette, cherche des solutions dans toutes les parties de l’aéroport, y compris pour les émissions générées par les déplacements en voiture jusqu’à l’aéroport. Dans cette optique, l’aéroport propose un programme de compensation carbone pour les voyageurs utilisant le parking de l’aéroport, leur permettant d’ajouter une compensation carbone de 0,66 dollar australien lors de la réservation en ligne.
Le Brisbane Airport est le premier aéroport à égaler chaque compensation carbone achetée sur la base d’un dollar pour un dollar, ce qui a suscité une réponse positive des voyageurs, avec deux fois plus de personnes que prévu choisissant cette option. L’aéroport s’est associé à un fournisseur de compensation carbone pour soutenir des projets de régénération des forêts indigènes, et le montant de la compensation de 0,66 dollar australien a été calculé en fonction de la distance moyenne d’un trajet aller-retour et des émissions générées.
Une initiative vers un aéroport neutre en carbone
La transition d’un aéroport vers une émission nette zéro exige que les opérateurs se concentrent sur de nombreux aspects pour réaliser des progrès dans l’ensemble de l’organisation, plutôt que de sélectionner les mesures faciles à mettre en œuvre. En Australie, l’aéroport de Brisbane progresse régulièrement vers une émission nette zéro et a récemment lancé une nouvelle initiative pour s’en rapprocher davantage.
En tant que principal point d’entrée dans le nord de l’Australie, l’aéroport de Brisbane accueille des voyageurs du monde entier venant découvrir des lieux emblématiques mais écologiquement fragiles comme la Grande Barrière de Corail, la forêt tropicale de Daintree, l’île Fraser (K’gari) et la région du patrimoine mondial de Gondwana. L’aéroport met déjà en place un programme de compensation carbone pour les voyageurs utilisant le parking, mais avec cette nouvelle initiative, il s’engage encore plus pour atteindre son objectif d’émission nette zéro.
Un impact positif sur l’environnement
Cette initiative du Brisbane Airport permet aux voyageurs de contribuer activement à la réduction des émissions de gaz à effet de serre liées à leurs déplacements en voiture. En choisissant d’ajouter une compensation carbone de 0,66 dollar australien lors de leur réservation de parking en ligne, les voyageurs soutiennent des projets de régénération des forêts indigènes.
Grâce à ce programme, l’aéroport de Brisbane a enregistré une réponse positive de la part des voyageurs, avec un nombre de réservations dépassant les attentes. L’aéroport espère que cette initiative incitera d’autres aéroports du monde entier à prendre des mesures similaires pour réduire leur impact environnemental.
Le programme de durabilité de l’aéroport de Brisbane inclut désormais des compensations carbone pour les voyageurs utilisant le parking de l’aéroport
L’aéroport de Brisbane, en Australie, a récemment lancé un programme innovant visant à compenser les émissions de carbone des voyageurs utilisant le parking de l’aéroport. Cette initiative s’inscrit dans le cadre du programme global de durabilité de l’aéroport et constitue une première en Australie.
Le système mis en place par l’aéroport de Brisbane est simple et convivial. Les clients peuvent ajouter une compensation carbone de AU$0,66 (0,44 $) lorsqu’ils réservent leur place de parking en ligne.
Ce qui distingue ce système, c’est que l’aéroport de Brisbane correspond à chaque achat de compensation carbone sur la base d’un dollar pour un dollar. Raechel Paris, directrice générale adjointe de la gouvernance et de la durabilité, a souligné que si d’autres aéroports proposent également des programmes de compensation carbone pour le stationnement, Brisbane est le premier à égaler les contributions financières des voyageurs.
Jusqu’à présent, le taux de participation des voyageurs à cette initiative a dépassé toutes les attentes. On prévoyait initialement que seulement 1 à 2 % des clients opteraient pour cette option, mais déjà le double l’a choisie depuis son lancement.
En seulement un mois, près de trois mille personnes ont choisi cette option, représentant une compensation carbone de 84 480 kg. À ce rythme, l’aéroport de Brisbane devra acheter davantage de compensations carbone plus tôt que prévu. Il s’agit donc d’une réponse fantastique de la part des voyageurs.
Une compensation carbone basée sur une distance moyenne de 70 kilomètres
Le montant de 66 cents a été déterminé par l’aéroport de Brisbane en utilisant des données sur les codes postaux de tous les clients de stationnement en ligne en 2019. Il a été calculé que la distance moyenne parcourue par les clients vers et depuis l’aéroport était de 70 kilomètres.
La Commission nationale des transports de l’Australie mesure les émissions de CO2 et a établi que pour ce trajet de 70 kilomètres, 15 kg d’équivalent CO2 seraient émis. L’achat d’une compensation de AU$0,66 couvre les 15 kg d’émissions, et l’aéroport de Brisbane correspondra à chaque achat, portant la compensation totale à 30 kg.
Une collaboration avec Tasman Environmental Markets pour soutenir des projets de régénération de la végétation
L’aéroport de Brisbane s’est associé à Tasman Environmental Markets (TEM), le plus grand fournisseur de compensations carbone de la région Asie-Pacifique, pour mettre en œuvre ce programme et en tirer des avantages environnementaux. Les projets de compensations carbone soutiendront des projets de régénération des forêts indigènes dans le sud-ouest du Queensland et en Nouvelle-Galles du Sud, y compris la région biogéographique des Mulga Lands.
L’aéroport de Brisbane est le premier aéroport australien à recevoir l’accréditation carbone de niveau 4 du Conseil international des aéroports. Cette accréditation reconnaît sa stratégie de réduction absolue des émissions et ses collaborations fructueuses avec ses partenaires aéroportuaires pour réduire les émissions.
Air India obtient une approbation conditionnelle pour reprendre l’entraînement sur simulateur
L’Indian Air India a récemment obtenu une approbation conditionnelle de l’Autorité de l’aviation civile indienne (DGCA) pour reprendre l’entraînement sur simulateur. Cela fait suite à une suspension imposée en raison de la pandémie de COVID-19.
L’autorisation a été accordée sous certaines conditions, notamment le respect strict des protocoles sanitaires et l’adoption de mesures de distanciation sociale pendant les séances de formation. Air India devra également s’assurer que les instructors de vol respectent les directives de sécurité et fournissent des équipements de protection individuelle adéquats.
Cette décision est une étape importante pour Air India, qui avait dû suspendre ses activités de formation au simulateur depuis plusieurs mois en raison de la crise sanitaire. La reprise de l’entraînement sur simulateur permettra aux pilotes de se maintenir à jour et de continuer à acquérir les compétences nécessaires à la sécurité des vols.
Les conditions de l’approbation
Voici les principales conditions auxquelles Air India devra se conformer pour reprendre l’entraînement sur simulateur :
| Conditions |
|---|
| Respect strict des protocoles sanitaires |
| Adoption de mesures de distanciation sociale pendant les séances de formation |
| Respect des directives de sécurité par les instructors de vol |
| Fourniture d’équipements de protection individuelle adéquats |
La DGCA a souligné que toute négligence ou non-respect de ces conditions entraînerait la suspension immédiate de l’entraînement sur simulateur.
Impact sur l’industrie de l’aviation
La reprise de l’entraînement sur simulateur par Air India est un signal positif pour l’industrie de l’aviation en Inde, qui a été durement touchée par la pandémie de COVID-19. Cette décision montre que les compagnies aériennes commencent à reprendre leurs activités normales, tout en respectant les protocoles de sécurité et de prévention.
Il est essentiel que les pilotes continuent à bénéficier d’un entraînement régulier pour maintenir leurs compétences et garantir la sécurité des vols. La réouverture des sessions de formation sur simulateur permettra de préparer les pilotes à divers scénarios et de les maintenir prêts à faire face à tout défi imprévu en vol.
Air India, en obtenant cette approbation conditionnelle, devra maintenant mettre en place toutes les mesures nécessaires pour garantir la sécurité et le bien-être de son personnel de formation et de ses pilotes. Cela contribuera à rétablir la confiance des passagers dans le secteur de l’aviation et à faciliter la reprise économique.
En conclusion, la reprise de l’entraînement sur simulateur par Air India est une étape cruciale pour l’industrie de l’aviation en Inde, marquant le début d’un retour à la normale dans un environnement sécurisé et protégé.
