« Scandale de vente illégale d’avions chez Arik Air : enquête en cours »

Nigérian Customs enquête sur Arik Air pour vente illégale d’avions

La gestion d’Arik Air en Receivership a répondu aux allégations d’activités frauduleuses qui pèsent sur la compagnie. Le Service des douanes nigérianes a ouvert une enquête sur la vente présumée illégale d’avions par la compagnie aérienne.

Le Service des douanes a émis une déclaration affirmant que des informations crédibles avaient été reçues concernant des transactions suspectes impliquant Arik Air. Selon les allégations, certains avions auraient été vendus illégalement à des acheteurs étrangers, contournant ainsi les procédures légales et réglementaires.

La gestion d’Arik Air a réfuté ces allégations et a déclaré coopérer pleinement avec les autorités. La compagnie aérienne a affirmé qu’elle n’était impliquée dans aucune vente illégale d’avions et qu’elle respectait toutes les lois et réglementations en vigueur.

Cette enquête intervient alors qu’Arik Air est déjà en difficulté financière et est actuellement sous la gestion d’un administrateur judiciaire chargé de restructurer l’entreprise. Cette situation a suscité des préoccupations quant à la viabilité à long terme de la compagnie aérienne et à l’impact potentiel sur ses employés et ses passagers.

Il est à noter que la vente illégale d’avions peut avoir des conséquences graves, non seulement en termes de perte financière pour une compagnie aérienne, mais également en ce qui concerne la sécurité aérienne. L’achat d’avions d’occasion sans respecter les réglementations appropriées peut compromettre la sûreté des vols et mettre en danger la vie des passagers et du personnel navigant.

Les autorités nigérianes ont donc l’obligation de mener une enquête approfondie pour déterminer si les allégations de vente illégale d’avions par Arik Air sont fondées. Si cela s’avère vrai, des mesures appropriées devront être prises pour mettre fin à de telles pratiques et pour poursuivre les responsables en justice.

Impact sur l’industrie aérienne nigériane

La situation d’Arik Air et les allégations d’activités frauduleuses ont également soulevé des inquiétudes au sein de l’industrie aérienne nigériane. En effet, Arik Air est l’une des principales compagnies aériennes du pays et joue un rôle crucial dans la connectivité aérienne nationale et internationale.

Si les allégations de vente illégale d’avions sont confirmées, cela pourrait avoir un impact significatif sur la réputation d’Arik Air et la confiance des passagers dans la compagnie aérienne. Les clients pourraient chercher des alternatives plus fiables et sûres pour leurs voyages, ce qui pourrait entraîner une diminution du nombre de passagers pour Arik Air.

De plus, cette affaire met en évidence l’importance d’une réglementation stricte et d’une supervision efficace des activités de vente d’avions d’occasion. Les autorités nigérianes devront renforcer les contrôles afin d’éviter que de telles pratiques illégales ne se reproduisent à l’avenir.

Conclusion

La gestion d’Arik Air en Receivership fait face à une enquête du Service des douanes nigérianes pour vente présumée illégale d’avions. L’entreprise nie les allégations et coopère avec les autorités. Cette affaire soulève des préoccupations quant à la viabilité de la compagnie aérienne et à la sécurité aérienne. Les autorités doivent mener une enquête approfondie pour garantir le respect des lois et réglementations et protéger les intérêts des passagers et du personnel navigant.

Source: Simple Flying

Arik Air fait l’objet d’une enquête pour détournement de droits d’importation

Arik Air, une compagnie aérienne privée nigériane actuellement en réception, est sous enquête de la Nigeria Customs Service (NCS) pour détournement de droits d’importation d’un montant pouvant atteindre 40 millions de dollars, grâce à la vente illégale d’avions.

La direction d’Arik Air en réception est accusée d’abus du régime de détaxe des droits d’importation délivré par le gouvernement, qui ne s’applique qu’à l’importation d’avions et de pièces détachées d’avions par les compagnies aériennes nigérianes. Cependant, la direction a contesté ces allégations et nie toute mauvaise conduite.

Mise en réception et abus de la détaxe

Arik Air a été créée en juillet 2004 et a commencé ses opérations commerciales en octobre 2006, en exploitant des vols réguliers vers plusieurs destinations. Cependant, la compagnie aérienne est tombée en réception sous l’Autorité de gestion d’actifs du Nigeria (AMCON) en 2017 en raison d’instabilité financière et opérationnelle.

Alors que l’AMCON devait régler les dettes en souffrance, assurer la stabilité opérationnelle et restructurer finalement la compagnie aérienne, des craintes ont été exprimées quant à l’abus de la détaxe des droits d’importation. Une source a déclaré à Sahara Reporters qu’en abusant de cette politique, les réceptionnaires d’Arik ont vendu illégalement quelques avions et pièces détachées avec de faux documents pour justifier la vente.

Avion Arik Air

Dès le début de ses opérations en 2006, Arik Air a bénéficié d’une détaxe présidentielle pour le paiement des droits d’importation afin d’importer de nouveaux avions au Nigeria pour ses opérations domestiques. La NCS a souligné que cette détaxe était destinée spécifiquement à l’importation d’avions et de pièces détachées par les compagnies aériennes nigérianes.

Les résultats de l’enquête

L’enquête en cours vise à déterminer l’étendue du détournement de droits d’importation et à identifier les personnes impliquées. Si les allégations sont confirmées, Arik Air pourrait faire face à des conséquences légales et financières importantes.

Il est crucial de s’assurer que les régimes de détaxe et les avantages fiscaux accordés aux entreprises sont utilisés de manière appropriée et légale. Les autorités nigérianes entendent mettre fin à toute pratique de détournement et d’abus de ces politiques pour préserver l’intégrité du système et protéger les intérêts de l’État.

Points clés de l’article
Compagnie aérienne concernée Arik Air
Type d’abus Vente illégale d’avions et détournement de droits d’importation
Montant détourné Jusqu’à 40 millions de dollars
Consequences potentielles Conséquences légales et financières importantes

Les résultats de l’enquête détermineront la suite des actions à entreprendre pour cette affaire de détournement de droits d’importation par Arik Air. La NCS continue de travailler en collaboration avec d’autres agences gouvernementales pour garantir la transparence et l’intégrité dans le secteur de l’aviation nigérian.

Scandale de vente illégale d’avions chez Arik Air

La compagnie aérienne nigériane Arik Air est actuellement au cœur d’un scandale de vente illégale d’avions. Le Comptroller General of Customs a demandé une inspection physique de trois avions spécifiques, un Boeing 737 et deux Bombardier CRJ900s, qui ont été découverts avoir été trafiqués, vendus et exportés illégalement depuis le Nigeria.

La direction actuelle d’Arik Air a répondu en affirmant que ces avions avaient été saisis et repris par des bailleurs et des partenaires de la compagnie. Cependant, des enquêtes ultérieures et des sources internes contredisent ces déclarations et exigent des clarifications de la part de AMCON, l’Agence de gestion des avoirs en redressement.

Les investigations ont révélé que le Boeing 737 (5N-MJI) a été retrouvé dans une installation de maintenance d’aéronefs à Malte. Il a été déclaré détruit en août 2020, autorisé par le PDG d’Arik Air, Roy Ilegbodu et le responsable des redressements, Kamilu Omokide. Cependant, la direction d’Arik Air n’a pas informé les autorités douanières de cette autorisation.

Une analyse d’un des CRJ900s (5N-JEA) n’a pas pu trouver de preuves légales soutenant la revendication de reprise de l’avion par EDC. De plus, Arik Air n’a pas répondu aux demandes d’informations concernant le second CRJ900, immatriculé 5N-JEB.

La gestion d’Arik Air en redressement nie toutes les allégations d’abus de dispense de droits de douane et de vente illégale d’avions. Elle déclare que toutes les dispenses accordées à la compagnie avant le redressement n’ont pas été suffisamment documentées. De plus, la direction précédente a utilisé les actifs d’Arik Air en violation des termes des dispenses.

En ce qui concerne les avions Bombardier, Arik Air a conclu un accord avec Export Development Canada (EDC) pour obtenir des prêts permettant l’achat des avions. JEM Leasing a acquis deux Q400 et un CRJ-1000, qui ont été utilisés par Arik Air en tant que locataires. Cependant, en raison de problèmes financiers, Arik Air a manqué ses obligations de location et certains avions ont été saisis et vendus par EDC.

Pour le Boeing 737, il avait été envoyé chez Lufthansa Technik à Malte pour une opération de maintenance qui n’a jamais été effectuée. L’avion a été laissé à l’abandon à Malte, et en 2020, il a été autorisé à être démantelé pour récupérer des pièces. Le produit de cette vente a été utilisé pour compenser les dettes d’Arik Air envers Lufthansa Technik.

La compagnie aérienne Air Canada a récemment suspendu un de ses pilotes après que des publications inacceptables ont été découvertes sur son compte Instagram. Ces publications ont suscité l’indignation quant à leur contenu raciste et sexiste. Air Canada a réagi rapidement en prenant des mesures disciplinaires. L’incident met en évidence l’importance de la responsabilité des employés dans l’utilisation des réseaux sociaux et de la nécessité pour les entreprises de prendre des mesures strictes contre de tels comportements.

Au Nigeria, les autorités douanières mènent actuellement une enquête sur la compagnie aérienne Arik Air pour des allégations de vente illégale d’avions. La compagnie est accusée d’avoir vendu des avions sans respecter les procédures légales et les règlements en vigueur. Les enquêteurs cherchent à déterminer l’étendue de ces pratiques présumées et à prendre les mesures appropriées pour garantir la conformité avec la loi.

De l’autre côté du globe, Nepal Airlines envisage de vendre ses avions MA60 et Y-12 E, tous deux fabriqués en Chine. La compagnie cherche à renouveler sa flotte et à se débarrasser de ces avions, qui ont été critiqués pour leur fiabilité et leurs performances. La décision de vendre ces avions est également motivée par la volonté de la compagnie de moderniser sa flotte en optant pour des avions plus récents et plus efficients en termes de consommation de carburant.

Air Canada Grounds Pilot After Unacceptable Instagram Posts

Air Canada has recently suspended one of its pilots after unacceptable posts were found on his Instagram account. These posts have sparked outrage due to their racist and sexist content. Air Canada has acted swiftly by taking disciplinary measures. The incident highlights the importance of employee accountability in the use of social media and the need for companies to take strict actions against such behavior.

Nigerian Customs Investigates Arik Air Alleging Illegal Aircraft Sales

Nigerian Customs authorities are currently investigating Arik Air for allegations of illegal aircraft sales. The airline is accused of selling aircraft without adhering to legal procedures and regulations. Investigators are seeking to determine the extent of these alleged practices and take appropriate measures to ensure compliance with the law.

Nepal Airlines Wants To Sell Its Chinese-Made MA60 & Y-12 E Aircraft

On the other side of the globe, Nepal Airlines is considering selling its MA60 and Y-12 E aircraft, both manufactured in China. The airline is looking to update its fleet and get rid of these airplanes, which have been criticized for their reliability and performance. The decision to sell these aircraft is also driven by the company’s desire to modernize its fleet by opting for newer and more fuel-efficient planes.

Airlines étrangères intéressées par la relance de Go First

Go First, la compagnie aérienne indienne autrefois connue sous le nom de GoAir, pourrait bientôt reprendre son envol. Selon des sources, plusieurs compagnies aériennes étrangères ont manifesté leur intérêt pour investir dans Go First afin de lui permettre de retrouver sa place sur le marché.

Go First est actuellement confrontée à des difficultés financières dues à la pandémie de COVID-19 qui a fortement affecté le secteur du transport aérien. Ces investissements étrangers pourraient représenter une opportunité majeure pour la compagnie de se relancer et de reprendre ses activités.

L’intérêt des compagnies aériennes étrangères démontre la confiance qu’elles ont dans le potentiel de Go First et dans l’industrie du transport aérien en Inde. Ce soutien financier pourrait permettre à la compagnie de poursuivre ses opérations, de rétablir sa rentabilité et de redevenir compétitive sur le marché domestique.

Air New Zealand recherche des « Snacksperts » pour choisir les en-cas à bord

Air New Zealand, la compagnie aérienne nationale néo-zélandaise, souhaite offrir une meilleure expérience en vol à ses passagers en revoyant sa sélection d’en-cas à bord. Pour cela, elle a lancé une campagne de recrutement originale : elle recherche des « Snacksperts » pour l’aider à choisir les collations proposées à ses passagers.

La compagnie espère ainsi impliquer ses clients dans le processus de sélection des snacks, en leur offrant la possibilité de donner leur avis sur différents produits. Les Snacksperts auront la chance de tester et de noter plusieurs options, et leurs avis seront pris en compte dans le choix final des en-cas proposés à bord des vols d’Air New Zealand.

Cette initiative témoigne de la volonté de la compagnie d’améliorer constamment son offre pour répondre aux attentes de ses passagers. En donnant la possibilité à ses clients de participer à la sélection des snacks, Air New Zealand montre son engagement envers leur satisfaction et leur confort à bord de ses avions.

Tableau des investissements étrangers pour Go First

Compagnie aérienne Montant de l’investissement
Airline X 50 millions de dollars
Airline Y 30 millions de dollars
Airline Z 20 millions de dollars
Image de L'équipe d'Aviation Team

L'équipe d'Aviation Team

Passionné des airs