Yikes: Go First Flights Now Not Set To Resume Until February 2024
La compagnie aérienne Go First a annoncé que la reprise de ses vols serait encore retardée jusqu’en février 2024, après avoir initialement prévu une reprise plus tôt. Malgré les tentatives de relance, la compagnie en faillite est contrainte de prolonger sa période d’inactivité d’un mois supplémentaire.
Cette prolongation pose de nombreux défis pour Go First, car elle complique davantage la relance de ses opérations et la résolution de sa dette en suspens. Malheureusement, aucun investisseur ne s’est manifesté pour soutenir la compagnie et sa situation financière n’a fait qu’empirer, suscitant une perte de confiance.
La décision de retarder la reprise des vols de Go First a été prise après une évaluation approfondie de la situation économique actuelle. Malgré les efforts de l’équipe de direction pour trouver des solutions alternatives, il est devenu évident que l’entreprise ne serait pas en mesure de reprendre ses opérations avant février 2024.
Cette nouvelle prolongation ajoute aux difficultés rencontrées par les passagers qui avaient déjà réservé des vols avec Go First. Ils devront maintenant attendre encore quelques mois avant de pouvoir voyager avec cette compagnie.
Impact sur les voyageurs et l’industrie aérienne
Cette prolongation de la suspension des vols de Go First a un impact significatif sur les voyageurs qui avaient prévu de voler avec la compagnie. Ils devront désormais revoir leurs plans de voyage et trouver des alternatives.
Cependant, l’impact de cette décision ne se limite pas aux passagers individuels. L’industrie aérienne dans son ensemble subit également les conséquences de la faillite de Go First. Les compagnies aériennes concurrentes pourraient bénéficier de cette situation en attirant les passagers qui se retrouvent sans option de vol avec Go First.
Perspectives pour Go First
La prolongation de la suspension des vols de Go First soulève des questions sur l’avenir de la compagnie. Malgré les difficultés financières auxquelles elle est confrontée, Go First pourrait chercher de nouveaux investisseurs ou envisager une fusion avec une autre compagnie aérienne pour tenter de se remettre sur pied.
Dans tous les cas, la route vers la reprise des activités pour Go First sera longue et difficile. Tout dépendra de la capacité de la compagnie à trouver des solutions viables pour régler sa dette et à regagner la confiance des investisseurs et des voyageurs.
La compagnie aérienne Go First prolonge sa suspension d’activité jusqu’en février 2024
La compagnie aérienne à bas coût indienne Go First a annoncé le 15 décembre qu’elle prolongeait sa suspension d’activité jusqu’au 4 février 2024. Cette décision ne présage rien de bon pour la compagnie, qui cumule une dette d’environ 780 millions de dollars (65 milliards de INR) envers ses créanciers.
Plus Go First reste au sol, plus il sera difficile pour la compagnie de reprendre ses vols. En cas de liquidation, elle risque de perdre ses avions, ses créneaux de décollage et ses licences.
Les problèmes rencontrés par Go First
En janvier 2022, Go First est devenue la deuxième compagnie aérienne en Inde en termes de part de marché domestique. Cependant, elle a subi une perte financière de 218 millions de dollars pour l’exercice 2022. En mai 2023, un an et demi plus tard, la compagnie a dû déposer le bilan et immobiliser sa flotte de 54 Airbus A320neo. La suspension des opérations est en cours pendant que la compagnie traverse la procédure de faillite devant les tribunaux.
Les dirigeants de la compagnie étaient optimistes au début de la procédure, espérant relancer les opérations en juin 2023. Cependant, aucune offre d’investissement n’a été reçue, ce qui a entraîné un manque de confiance des investisseurs et le seul acheteur potentiel dans le processus d’insolvabilité, Jindal Power Ltd, n’a pas fait d’offre.
Les conséquences de la crise des moteurs
La principale cause de la faillite de Go First est le rappel des moteurs Geared Turbo Fan de Pratt & Whitney. Ces moteurs équipaient plus de la moitié de la flotte de la compagnie, ce qui a conduit à l’immobilisation de 50% de ses avions d’ici septembre 2022.
Go First rejette la responsabilité sur Pratt & Whitney, affirmant que le fournisseur de moteurs n’a pas fourni de moteurs de rechange ni aidé à gérer le problème. Le manque d’avions a empêché la compagnie de profiter de la reprise post-pandémique. De plus, les avions immobilisés étaient tous loués et généraient encore des coûts.
Les conséquences possibles pour Go First
Go First est toujours à la recherche d’une solution et n’a pas encore annoncé officiellement qu’elle entamerait des procédures de liquidation, mais cela semble être une question de temps.
Problèmes rencontrés par Go First | Conséquences |
---|---|
Dettes de 780 millions de dollars envers les créanciers | Risque de liquidation et perte d’actifs |
Perte financière de 218 millions de dollars pour l’exercice 2022 | Difficulté à reprendre les vols |
Rappel des moteurs Geared Turbo Fan de Pratt & Whitney | Immobilisation de 50% de la flotte d’ici septembre 2022 |
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