Une investigation révèle la cause de la quasi-collision entre un A330 de Delta et un 737 de Ryanair
Une enquête approfondie a été menée pour déterminer les circonstances ayant conduit à une situation de quasi-collision entre un Airbus A330 de Delta et un Boeing 737 de Ryanair. Les résultats ont été récemment rendus publics par les enquêteurs.
Les données recueillies ont permis de déterminer que les deux avions se trouvaient à une distance verticale de 700 pieds (213,3 mètres) l’un de l’autre au moment de l’incident. Les enquêteurs ont souligné que cet écart minimal a été crucial pour éviter une collision catastrophique.
Les facteurs à l’origine de l’incident
Plusieurs facteurs ont été identifiés comme étant à l’origine de la situation dangereuse. Tout d’abord, une défaillance du système de gestion du trafic aérien a été relevée, entraînant une mauvaise coordination entre les deux aéronefs. De plus, une erreur de communication entre les pilotes des deux avions a été constatée.
Les conditions météorologiques difficiles, notamment une mauvaise visibilité due à un épais brouillard, ont également joué un rôle dans l’incident. Les enquêteurs ont suggéré que davantage de précautions devraient être prises lorsque de telles conditions météorologiques se produisent afin de garantir la sécurité des vols.
Les mesures préventives proposées
À la suite de cet incident, les enquêteurs ont recommandé plusieurs mesures préventives pour éviter de futurs incidents similaires. Tout d’abord, une amélioration du système de gestion du trafic aérien est nécessaire, en particulier en termes de coordination des mouvements des aéronefs.
De plus, une meilleure formation des pilotes sur les procédures de communication et sur la manière de réagir en cas de situation critique est préconisée. Les pilotes doivent être en mesure de prendre des décisions rapides et précises afin d’éviter toute collision potentiellement mortelle.
Les conséquences possibles
Si cette situation de quasi-collision entre un A330 de Delta et un 737 de Ryanair s’était transformée en véritable collision, les conséquences auraient pu être dévastatrices. Les deux avions transportaient un nombre important de passagers, et l’accident aurait probablement entraîné de nombreuses pertes en vie humaine.
Il est donc essentiel que les compagnies aériennes, les autorités de régulation et les organismes de sécurité aérienne travaillent ensemble pour améliorer les systèmes de gestion du trafic aérien et renforcer la formation des pilotes. La sécurité des passagers doit toujours être la priorité absolue.
Incident évité entre un avion de Delta Air Lines et un avion de Ryanair à l’aéroport de Barcelone
Un Airbus A330-300 de Delta Air Lines a frôlé une collision avec un Boeing 737-800 de Ryanair à l’aéroport de Barcelone El Prat. L’incident a été causé par une mauvaise communication et des erreurs de procédure de la part des contrôleurs d’arrivée locaux et des contrôleurs de mouvement au sol. Heureusement, aucun des avions n’a été endommagé et ils ont pu continuer leur vol après l’incident.
D’après la Commission espagnole d’enquête sur les accidents et incidents de l’aviation civile (CIAIAC), l’A330-300 de Delta Air Lines a évité de peu le Boeing 737-800 de Ryanair avec une distance verticale de seulement 213,3 mètres lors du départ de l’aéroport de Barcelone El Prat. Les deux avions ont apparemment suivi leurs trajectoires sans heurt après cet événement.
Changement de configuration de piste
Le problème a commencé lorsque l’aéroport de Barcelone a changé sa configuration de piste. À 15h54, les pistes 24R et 24L ont été utilisées respectivement pour les arrivées et les départs. Le contrôleur d’arrivée local a coordonné avec le contrôleur d’approche final pour organiser un décollage pour l’A330-300 de Delta Air Lines.
Les pilotes de l’A330-300 ont signalé qu’ils auraient besoin d’une minute de plus avant de pouvoir décoller. Pendant ce temps, l’équipage du Boeing 737-800 de Ryanair a demandé à quitter son stand de stationnement pour se rendre sur la piste 24L. À 16h00, les pilotes de Delta Air Lines ont confirmé qu’ils étaient prêts pour le départ, mais le contrôleur a indiqué que l’avion ne pouvait pas partir à 16h01, et qu’il partirait plus tard avec un avion de ITA Airways.
Erreurs de procédure
Par la suite, d’autres problèmes de circulation aérienne ont entraîné des retards. Un avion médical était censé traverser la piste, mais un vol easyJet a bloqué son chemin. Les contrôleurs du mouvement au sol de l’aéroport n’ont pas coordonné le départ de l’A330-300 avec le contrôleur de mouvement au sol responsable de la zone nord de l’aéroport. En conséquence, le pilote du Boeing 737-800 de Ryanair a dépassé la barrière stop du taxiway S, qui empêche les avions de traverser la piste lorsque d’autres avions décollent.
La seule raison pour laquelle le Boeing 737-800 de Ryanair s’est finalement arrêté était parce que le contrôleur responsable de la zone centrale a informé le contrôleur de la zone nord que l’A330-300 de Delta Air Lines était déjà en train de décoller. À ce moment-là, le Delta Air Lines était déjà en phase d’accélération sur la piste à une vitesse de 120 nœuds, tandis que le Ryanair était stationné sur l’extension de la piste 24R.
Recommandations pour améliorer la sécurité aéroportuaire
Les enquêteurs ont recommandé une amélioration du système de contrôle et de surveillance des feux de l’aéroport de Barcelone El Prat pour éviter de tels incidents à l’avenir. Des erreurs de communication et de procédure ont clairement contribué à cette situation dangereuse et il est essentiel que les protocoles soient révisés pour assurer la sécurité des opérations aériennes.
Incident évité de justesse à l’aéroport de Barcelone-El Prat
Une collision entre un avion Boeing 737 de la compagnie Ryanair et un Airbus A330 de Delta Air Lines a été évitée de justesse à l’aéroport de Barcelone-El Prat. Les résultats de l’enquête menée par le CIAIAC, l’organisme espagnol chargé des enquêtes sur les accidents aériens, viennent d’être rendus publics.
Le CIAIAC a conclu que l’incident était dû à une défaillance de LCL ARR, l’opérateur de l’aéroport, qui n’a pas suivi les procédures de l’aéroport et n’a pas informé GMC N à propos du décollage de l’avion de Delta Air Lines. Cette erreur a entraîné l’événement qui aurait pu avoir des conséquences désastreuses.
Les enquêteurs ont également identifié deux facteurs contributifs majeurs : la conception inefficace de la liste de vérification du décollage non-préférentiel et l’ergonomie du système de contrôle et d’indication des lumières. Le CIAIAC recommande à AENA, l’opérateur de l’aéroport, de collaborer avec ENAIRE, le fournisseur de services de navigation aérienne en Espagne, pour améliorer le système de contrôle et de surveillance des lumières à l’aéroport. Il est essentiel que ce système puisse être consulté depuis la position de travail principale du contrôleur aérien.
Le rapport met également en évidence la nécessité de collaborer avec ENAIRE pour améliorer la liste de vérification du décollage non-préférentiel, afin de prévenir de telles erreurs à l’avenir.
Résumé des recommandations du CIAIAC :
| Recommandation | Responsable |
|---|---|
| Améliorer le système de contrôle et de surveillance des lumières | AENA et ENAIRE |
| Modifier la liste de vérification du décollage non-préférentiel | ENAIRE |
L’aéroport de Barcelone-El Prat et les compagnies aériennes concernées ont pris ces recommandations très au sérieux et ont déjà commencé à mettre en place les actions nécessaires pour éviter de tels incidents à l’avenir.
JetBlue CEO Tells Employees Profitability Is Number One Focus
Le PDG de JetBlue, Robin Hayes, a récemment informé les employés de la compagnie aérienne que la rentabilité est sa priorité absolue. Lors d’une réunion interne, Hayes a souligné l’importance de générer des bénéfices et de maintenir une croissance durable. JetBlue a connu une année difficile en raison de la pandémie de COVID-19, mais Hayes s’est montré optimiste quant à la reprise de l’industrie du voyage.
Hayes a déclaré que la compagnie se concentrera sur l’optimisation de ses opérations pour réduire les coûts et augmenter l’efficacité. Il a également souligné l’importance de fournir une excellente expérience client pour rester compétitif sur le marché. Hayes a encouragé les employés à trouver des moyens d’améliorer les processus internes et à identifier de nouvelles opportunités de revenus.
13 000+ membres du personnel sont nécessaires pour atteindre l’objectif d’embauche de Lufthansa en 2024
Lufthansa, la plus grande compagnie aérienne d’Allemagne, prévoit d’embaucher plus de 13 000 nouveaux employés d’ici 2024. Cette initiative soutient la stratégie de croissance de la compagnie et vise à répondre à la demande croissante de voyages aériens. Lufthansa cherche à recruter du personnel dans divers domaines, tels que les pilotes, le personnel de cabine et le personnel au sol.
Pour atteindre cet objectif ambitieux, Lufthansa prévoit de recruter activement et de former de nouveaux talents. La compagnie offre des programmes de formation et de développement pour les candidats qualifiés, ainsi que des opportunités d’évolution de carrière. Lufthansa reconnaît le rôle essentiel que jouent ses employés dans la réussite de l’entreprise et s’engage à offrir un environnement de travail inclusif et stimulant.
Répartition des profils recherchés par Lufthansa :
| Profil | Nombre de postes |
|---|---|
| Pilotes | +5000 |
| Personnel de cabine | +6000 |
| Personnel au sol | +2000 |
Ces opportunités d’emploi offrent de nombreux avantages, tels que des salaires compétitifs, des horaires flexibles et des possibilités de voyager à travers le monde avec l’une des compagnies aériennes les plus renommées.
