Go First chercherait à prolonger de 60 jours le processus d’insolvabilité
Go First Airlines, anciennement connue sous le nom de SpiceJet, aurait demandé une prolongation de 60 jours de son processus d’insolvabilité, selon des sources. La compagnie aérienne est confrontée à une date limite fixée au 4 février pour présenter un plan d’assainissement financier. Cette demande de prolongation vise à permettre à Go First de finaliser et de soumettre son plan de redressement.
Go First Airlines traverse une période difficile depuis un certain temps. Bien qu’elle ait réussi à augmenter ses revenus grâce à une augmentation des vols intérieurs, la pandémie de COVID-19 continue d’avoir un impact négatif sur ses activités. La demande de prolongation est donc considérée comme une mesure pour donner à la compagnie aérienne plus de temps pour élaborer un plan solide afin de sortir de l’insolvabilité.
La prolongation demandée permettrait également à Go First de continuer à opérer sans interruption pendant le processus d’insolvabilité. Cela serait bénéfique pour les voyageurs qui ont déjà réservé des vols avec la compagnie aérienne et qui ne souhaitent pas être affectés par cette situation.
Les défis auxquels fait face Go First Airlines
La décision de Go First de demander une prolongation de 60 jours pour son processus d’insolvabilité met en évidence les défis auxquels la compagnie aérienne est confrontée. La pandémie mondiale a eu un impact significatif sur l’industrie du voyage et de l’aviation, et Go First n’a pas été épargnée.
Des contraintes de voyage strictes, des fermetures de frontières et une baisse de la demande ont affecté les revenus de la compagnie aérienne. De plus, Go First a dû faire face à des difficultés financières avant même le début de la pandémie. Les retards dans le paiement des redevances aéroportuaires et la pression pour rembourser les créanciers ont exacerbé la situation.
La prolongation demandée donnerait à Go First le temps nécessaire pour élaborer une stratégie permettant de surmonter ces défis. Elle pourrait inclure des plans de réduction des coûts, des renégociations de contrats et des mesures visant à répondre aux besoins changeants des voyageurs au fur et à mesure que les restrictions de voyage seront levées.
L’avenir incertain de Go First Airlines
L’avenir de Go First Airlines reste incertain alors que la compagnie aérienne cherche à sortir de l’insolvabilité. Bien que la demande de prolongation de 60 jours puisse être considérée comme une mesure positive pour permettre à la compagnie aérienne de se réorganiser, il reste à voir si Go First pourra surmonter les défis auxquels elle est confrontée.
La situation actuelle de l’industrie du voyage rend difficile la prédiction de la reprise rapide de Go First. Les voyageurs restent prudents et la demande de voyages internationaux reste faible. Cependant, une gestion efficace de l’insolvabilité et la mise en œuvre de mesures stratégiques peuvent permettre à Go First de se remettre sur pied et de retrouver sa position sur le marché de l’aviation.
Go First demande une extension de son processus d’insolvabilité en raison de l’intérêt des investisseurs potentiels
La compagnie aérienne à bas coût indienne Go First cherche à prolonger son processus d’insolvabilité de deux mois supplémentaires, compte tenu de l’intérêt récent d’un groupe d’investisseurs potentiels. Les opérations de la compagnie aérienne sont suspendues depuis mai 2023 et toutes les tentatives de la relancer de manière crédible n’ont pas encore abouti.
Go First souhaite prolonger le délai de son processus d’insolvabilité de 60 jours supplémentaires afin de trouver une solution financière pour relancer son activité. Selon des sources bancaires citées par Reuters, la compagnie aérienne souhaite obtenir plus de temps, étant donné les événements récents liés à l’intérêt des investisseurs potentiels.
Intérêt des investisseurs
Pendant plusieurs mois après l’arrêt des opérations de Go First, la compagnie n’a pas suscité beaucoup d’intérêt de la part des investisseurs pouvant injecter des liquidités dans la compagnie et relancer son activité. Le groupe Jindal en Inde avait manifesté un intérêt initial, mais cela n’a pas abouti à quoi que ce soit.
Ensuite, alors que tout semblait perdu, Go First a suscité l’intérêt de quatre candidats, dont son concurrent indien, la compagnie aérienne à bas coût SpiceJet. Les autres candidats incluent l’entreprise basée à Sharjah Sky One, le groupe d’investissement de Safrik en Afrique et NS Aviation basée aux États-Unis, un investisseur mondial fondé par le chirurgien américain Dr Mohammad Ali et l’entrepreneur Isha Ali. L’année dernière, NS Aviation avait annoncé l’acquisition de 85% des actions d’une autre compagnie aérienne indienne, TruJet, pour un peu plus de 54 millions de dollars.
Dernière chance ?
Peu de temps après l’arrêt des opérations, Go First avait annoncé son souhait de reprendre ses vols et plusieurs discussions avaient eu lieu sur l’échelle réduite de ses opérations pour son retour. Cependant, la compagnie aérienne a été confrontée à plusieurs problèmes, tels que le départ massif des employés et des litiges avec ses bailleurs.
La flotte de Go First est actuellement immobilisée partout en Inde, et certains avions se trouvent dans des conditions suboptimales car la compagnie n’a actuellement aucun employé pour s’en occuper. Tout cela a eu un impact considérable sur ses plans de redémarrage des vols. Il reste à voir si l’un de ces quatre candidats pourra réussir à faire une offre pour sauver la compagnie.
Vietjet transporte 25,3 millions de passagers sur sa flotte Airbus en 2023
Vietjet, la célèbre compagnie aérienne vietnamienne à bas prix, a annoncé avoir transporté un total de 25,3 millions de passagers sur ses avions de la famille Airbus au cours de l’année 2023. Cette performance exceptionnelle réaffirme la popularité croissante de la compagnie et son importance dans le secteur aéronautique. Grâce à sa flotte d’Airbus moderne et efficace, Vietjet a pu offrir des vols abordables et de qualité à un grand nombre de voyageurs.
La fusion Korean Air-Asiana approuvée par les autorités japonaises
Les autorités japonaises ont donné leur feu vert à la fusion entre Korean Air et Asiana Airlines, deux des principales compagnies aériennes en Corée du Sud. Cette fusion va consolider le paysage aérien coréen en créant une compagnie aérienne géante capable de rivaliser avec les plus grandes entreprises internationales. L’approbation des autorités japonaises est une étape majeure dans le processus de fusion et ouvre la voie à une nouvelle ère dans l’industrie du transport aérien en Corée du Sud.
Les dix routes internationales les plus fréquentées aux États-Unis en 2023
Une récente étude a révélé les dix routes internationales les plus empruntées aux États-Unis en 2023. New York-Londres est en tête de ce classement avec plus de 1 million de passagers transportés. Londres-New York arrive en deuxième position, suivi par New York-Toronto. Ces chiffres démontrent l’importance des liaisons transatlantiques dans le secteur du transport aérien américain.
Des passagers envisagent une action en justice contre American Airlines
Des passagers mécontents envisagent de déposer une action en justice collective contre American Airlines après la résiliation de leurs adhésions au programme de fidélité AAdvantage. Ces adhérents ont été informés sans préavis que leur compte était clôturé, entraînant la perte de leurs avantages. Cette situation a suscité un sentiment d’injustice parmi les membres et pourrait conduire à une bataille juridique entre les passagers lésés et la compagnie aérienne.
Les derniers opérateurs de l’Airbus A321-100
L’Airbus A321-100, le premier modèle de la famille A320, voit ses opérateurs se réduire progressivement. Actuellement, seule une poignée de compagnies aériennes continue d’utiliser cet avion emblématique. Parmi elles, on retrouve EgyptAir, qui est l’un des derniers opérateurs de l’A321-100 au monde. Malgré l’introduction de versions ultérieures de l’A320, cet avion a marqué l’histoire de l’aviation et témoigne de l’évolution de la technologie aéronautique.
