Agents de bord d’Air Transat rejettent l’accord collectif

No Deal: Les agents de bord d’Air Transat rejettent l’accord contractuel

Les agents de bord d’Air Transat ont rejeté l’accord provisoire et ont réintégré les négociations, mettant ainsi fin au contrat actuel. Cette décision inattendue a des répercussions importantes sur les opérations de la compagnie aérienne.

Les implications de la décision

Le rejet de l’accord contractuel par les agents de bord d’Air Transat signifie que les négociations doivent reprendre pour parvenir à un nouveau compromis. Cela pourrait entraîner une interruption des vols et des perturbations pour les passagers.

Les raisons du rejet

Les raisons du rejet de l’accord contractuel par les agents de bord ne sont pas encore claires. Cependant, des problèmes tels que la rémunération, les conditions de travail et les avantages sociaux pourraient être au cœur des préoccupations.

L’impact sur les passagers

Cette situation crée de l’incertitude pour les passagers d’Air Transat. Les vols pourraient être annulés ou retardés, ce qui pourrait entraîner des perturbations dans les plans de voyage des voyageurs. Il est conseillé aux passagers de vérifier régulièrement les mises à jour du vol et de contacter la compagnie aérienne pour obtenir des informations les plus récentes.

Les conséquences pour Air Transat

Cette situation est également préoccupante pour Air Transat en termes de réputation et de rentabilité. Les annulations et les retards de vols peuvent entraîner des pertes financières importantes pour la compagnie aérienne, en plus d’indisposer les passagers. Il est crucial pour la direction d’Air Transat de travailler rapidement pour parvenir à un nouvel accord avec les agents de bord et minimiser les perturbations.

Les perspectives futures

À ce stade, il est difficile de dire comment les négociations entre Air Transat et les agents de bord se dérouleront. Les deux parties devront trouver un terrain d’entente pour garantir un fonctionnement fluide de la compagnie aérienne et satisfaire les besoins des employés et des passagers. Il est essentiel de suivre de près l’évolution de cette situation.

Rejet d’une proposition de contrat par les agents de bord d’Air Transat

Les agents de bord d’Air Transat, une compagnie aérienne de loisirs basée à Montréal et troisième plus grande compagnie aérienne du Canada, viennent de rejeter une proposition de contrat. En conséquence, le syndicat des agents de bord peut entamer une procédure de grève à partir de vendredi en vertu de la législation du travail canadienne, mais les deux parties souhaitent revenir à la table des négociations.

Accord provisoire rejeté

La direction d’Air Transat et ses 2 100 agents de bord, représentés par le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), ont annoncé le 2 janvier que les agents de bord n’avaient pas ratifié l’accord provisoire. Des augmentations de salaire de 18% sur cinq ans étaient proposées pour remplacer un contrat qui a expiré le 31 octobre 2022.

Cependant, selon PAX News, 98,1% des agents de bord votants – soit 87% de l’électorat – ont rejeté l’accord proposé. Le fait que de nombreux agents de bord travaillent deux ou trois emplois et sont rémunérés sur une échelle salariale commençant à 26 577 $ par an est un problème imminent.

Demande de rémunération pour l’embarquement

Une autre question qui pèse lourd dans les négociations est la demande des agents de bord de recevoir une rémunération pour le travail crucial d’embarquement des passagers à la porte d’embarquement. Dans la plupart des compagnies aériennes, le personnel de cabine n’est rémunéré qu’une fois la porte d’embarquement fermée. Comme l’a expliqué Wesley Lesosky, président de la Division des compagnies aériennes du SCFP, dans une déclaration du 27 novembre :

« Le salaire de départ d’un agent de bord chez Air Transat est de 26 000 $ par an ; comment ces travailleurs peuvent-ils subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs proches avec un tel revenu dans des grandes villes comme Toronto et Montréal ? La réponse courte est : ils ne peuvent pas, et cela est d’autant plus aggravé par le fait que des compagnies aériennes comme Air Transat ne rémunèrent pas les agents de bord pour en moyenne 35 heures chaque mois pendant lesquelles ils effectuent des tâches essentielles telles que l’embarquement et les vérifications de sécurité avant le vol. »

Ces problèmes sont étonnamment similaires à ceux soulevés par les agents de bord d’Alaska Airlines et d’American Airlines lors des lignes de piquetage pour déclencher une grève contre leur direction. »

La législation du travail canadienne facilite les grèves

Il convient de noter qu’en différence des États-Unis avec le Railway Labor Act, il suffit à tous les employés de l’aviation canadienne de voter en faveur d’une grève et de donner un préavis de 72 heures après le vote pour pouvoir faire grève – après une tentative de conciliation/médiation. Il existe quelques sorties de secours si le gouvernement canadien décide d’utiliser certains outils, tels que renvoyer les affaires au Conseil canadien des relations industrielles ou même adopter des lois de retour au travail.

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Avantages Inconvénients
Permet aux employés de faire grève plus facilement Possibilité de lois de retour au travail
Renforcement de la position des travailleurs Potentielle interruption des opérations aériennes

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Réponse de la direction d’Air Transat

Sur son site web, Air Transat a partagé son plan en cas de préavis de grève formel :

« En cas de dépôt d’un préavis de grève par le syndicat et de l’annulation subséquente de certains vols, Air Transat remplira toutes ses obligations en tant que transporteur pour accueillir ses voyageurs. Cela comprendra la proposition d’un nouveau billet sur un prochain vol disponible ou celui d’une compagnie aérienne partenaire si une telle option existe dans les 48 heures suivant l’heure de départ initiale, ou le remboursement de toute partie non utilisée du voyage. Pour ceux qui ont réservé un forfait et qui sont à destination et dont le séjour pourrait être prolongé, Transat couvrira tous les coûts supplémentaires engagés. »

De plus, dans une déclaration du 2 janvier, Julie Lamontagne, chef des ressources humaines, de la durabilité et de la communication d’Air Transat, a partagé ces réflexions :

« Nous étions parvenus à un accord provisoire négocié de bonne foi, qui répondait aux intérêts des deux parties. Nous sommes déçus de ce résultat, car nous étions convaincus que l’accord provisoire serait accepté par la majorité de nos agents de bord. Nous retournons à la table des négociations et notre objectif reste de trouver un terrain d’entente dès que possible. »

En conclusion, bien que les agents de bord d’Air Transat n’aient pas ratifié un accord provisoire, les deux parties souhaitent continuer les négociations. Cependant, si le syndicat décide de déclencher une grève ou si la direction décide de décréter un lock-out, un préavis de 72 heures doit être donné.

No Deal: Les agents de bord d’Air Transat refusent l’accord collectif

Les agents de bord d’Air Transat ont rejeté l’accord collectif proposé par la compagnie aérienne, entraînant ainsi l’échec des négociations. Cette décision a été prise après une longue période de pourparlers entre les représentants syndicaux et la direction d’Air Transat. Les agents de bord ont exprimé leur mécontentement face aux conditions salariales et aux avantages sociaux proposés dans l’accord.

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Les voyages en classe Premium de Qantas sont-ils valent-ils le coût supplémentaire ?

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Destination Tarif en classe économique Tarif en classe Premium Différence de prix
Londres 1000 € 1500 € + 500 €
Los Angeles 1200 € 2000 € + 800 €
Sydney 2000 € 3000 € + 1000 €

Atlanta est le principal aéroport de Delta Air Lines pour les vols long-courriers cet hiver

Delta Air Lines a récemment annoncé qu’Atlanta sera son aéroport principal pour les vols long-courriers pendant la période hivernale. Cette décision stratégique vise à répondre à une demande de plus en plus forte pour les vols à longue distance au départ de la capitale de la Géorgie. Grâce à sa proximité géographique avec de nombreuses grandes villes du monde, Atlanta est un hub majeur pour Delta, qui y opère déjà de nombreux vols nationaux et internationaux.

En choisissant Atlanta comme point de départ des vols long-courriers, Delta Air Lines compte optimiser ses opérations et offrir à ses passagers des itinéraires plus efficaces et pratiques. Les voyageurs auront ainsi la possibilité de se connecter facilement à Atlanta pour rejoindre un grand nombre de destinations internationales.

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Le projet ambitieux de Fly CORALway consistait à utiliser l’Airbus A220 pour opérer des vols nationaux et internationaux à partir de plusieurs aéroports régionaux. Cependant, en raison des défis financiers auxquels la compagnie était confrontée et de l’incertitude dans le secteur de l’aviation due à la pandémie de COVID-19, les dirigeants de Fly CORALway ont estimé qu’il était préférable d’abandonner le projet.

Cette décision représente un coup dur pour la start-up et pour l’industrie de l’aviation en général, alors que l’Airbus A220 est considéré comme un avion innovant et très performant. Fly CORALway espère néanmoins rebondir et envisage d’autres opportunités dans le secteur de l’aviation à l’avenir.

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L'équipe d'Aviation Team

Passionné des airs