Toronto Tailstrike: Un Airbus A350 d’Air France endommagé lors d’une procédure d’approche interrompue
L’A350 d’Air France est le troisième à subir des dommages à son cône arrière au cours des deux dernières années lors d’une tentative de go-around.
Lors d’une récente procédure de go-around effectuée à l’aéroport de Toronto, un Airbus A350 d’Air France a été endommagé, rejoignant ainsi la liste des avions de ce type qui ont rencontré des problèmes similaires ces dernières années.
Le cône arrière de l’appareil a été endommagé pendant la manoeuvre, ce qui en fait le troisième A350 d’Airbus à subir ce type de dommages au cours des deux dernières années. Les experts ont souligné la nécessité d’une enquête approfondie pour comprendre pourquoi ces incidents se multiplient sur des avions appartenant à différentes compagnies aériennes.
La procédure de go-around est réalisée lorsque l’avion ne peut pas atterrir en toute sécurité lors de son approche initiale. L’appareil effectue alors une montée suivie d’une nouvelle approche. C’est souvent une procédure standard lors des atterrissages par mauvais temps ou lorsque les conditions ne sont pas optimales.
Les dommages au cône arrière de l’appareil peuvent résulter d’un contact entre la queue de l’avion et la piste lors de la phase de montée pendant le go-around. Cela peut se produire si le pilote insuffle trop de puissance aux moteurs ou dirige l’avion de manière incorrecte lors de la manoeuvre.
Incidents récurrents
Cette dernière incident s’ajoute à une série d’incidents similaires qui se sont produits récemment sur des A350. En juillet 2023, un A350 d’Ethiopian Airlines a également subi des dommages à son cône arrière lors d’un go-around à Addis-Abeba. En outre, en septembre 2022, un A350 de la compagnie Singapore Airlines a été endommagé de la même manière lors d’un atterrissage à Singapour.
Ces incidents répétés sont préoccupants car ils pourraient indiquer un problème structurel ou un défaut de conception sur ce modèle d’avion. Les compagnies aériennes opérant des A350 devraient être vigilantes et prendre des mesures pour prévenir ces incidents à l’avenir.
En attendant, Air France et les autres compagnies aériennes concernées par ces incidents devront coopérer avec les autorités et mener des enquêtes approfondies pour identifier les causes de ces dommages et garantir la sécurité des passagers à l’avenir.
Un incident notable pour un Airbus A350 d’Air France à Toronto
Un Airbus A350 exploité par Air France a subi une grève de queue lors de son atterrissage à l’aéroport international de Toronto Pearson (YYZ) le dimanche. Le vol AF456 en provenance de l’aéroport Charles de Gaulle à Paris (CDG) a heurté la piste 24L à 16h34, heure normale de l’Est. L’équipage tentait apparemment une manœuvre d’approche interrompue lorsque l’incidence a augmenté rapidement, entraînant un contact bref du bout de la queue avec la piste.
Après avoir rapidement décollé à nouveau, l’équipage de l’AF456 a fait le tour de Toronto et a atterri en toute sécurité sur la même piste environ 15 minutes plus tard. Aucune blessure n’a été signalée, mais l’avion a subi des dégâts importants à sa queue, annulant ainsi le vol de retour.
Des images et vidéos de l’incident ont été partagées sur les réseaux sociaux, montrant des flammes s’échappant du bas de l’empennage alors qu’il traînait sur la piste. L’Airbus A350, immatriculé F-HTYH et âgé de trois ans, reste au sol à Toronto depuis le 22 janvier. Il n’est pas encore clair si une enquête sera ouverte sur l’incident.
Des incidents similaires rapportés pour d’autres A350
Ce n’est pas la première fois qu’un incident de grève de queue se produit avec un A350. En janvier 2022, un Airbus A350-1000 exploité par British Airways a également heurté la piste lors d’une procédure d’approche interrompue à l’aéroport de Londres Heathrow (LHR). L’avion a subi des dégâts mineurs à sa peinture et à sa protection contre la foudre.
En avril 2023, un A350-900 de Qatar Airways a également été impliqué dans un incident similaire lors d’une approche interrompue à l’aéroport international d’Islamabad (ISB) en raison de vents latéraux. L’avion a pu atterrir en toute sécurité lors de sa deuxième tentative, mais a nécessité des travaux de maintenance avant de retourner à Doha, au Qatar.
Ces incidents soulèvent des questions sur la nécessité d’améliorer les procédures des approches interrompues et la formation des équipages pour minimiser les risques de grève de queue avec les A350 et autres avions similaires.
En attendant, Air France devra évaluer les dommages à l’Airbus A350 F-HTYH et décider des mesures nécessaires pour remettre l’avion en service.
Alaska Airlines inaugure son Boeing 737 MAX 8 entre Seattle et Los Angeles
Alaska Airlines marque une nouvelle étape dans son développement en lançant demain son premier vol commercial avec le Boeing 737 MAX 8. Ce vol inaugural reliera Seattle à Los Angeles, offrant ainsi aux passagers une expérience de voyage améliorée grâce aux caractéristiques technologiques de cet avion dernière génération.
Un avion modernisé pour un confort optimal
L’arrivée du Boeing 737 MAX 8 dans la flotte d’Alaska Airlines est une étape majeure dans la modernisation de sa flotte. Les passagers pourront profiter d’un intérieur entièrement repensé, offrant des sièges plus confortables et une cabine plus spacieuse. De plus, les nouvelles technologies embarquées garantissent une meilleure expérience de vol, avec une insonorisation renforcée et des systèmes de divertissement à la pointe de la technologie.
Une performance environnementale améliorée
Le Boeing 737 MAX 8 se distingue également par sa performance environnementale améliorée. Grâce à des moteurs plus efficients et à une conception aérodynamique optimisée, cet avion consomme moins de carburant, réduisant ainsi son empreinte carbone. Il offre également une plus grande autonomie de vol, permettant à Alaska Airlines d’explorer de nouvelles destinations et d’étendre son réseau.
Sécurité avant tout
Alaska Airlines a mis un point d’honneur à garantir la sécurité de ses passagers. Le Boeing 737 MAX 8 est équipé des derniers systèmes de sécurité, offrant ainsi une meilleure protection en cas d’urgence. De plus, les pilotes ont suivi une formation approfondie pour se familiariser avec les spécificités de cet avion et se tenir prêts à faire face à toute éventualité.
Un déploiement progressif sur le réseau d’Alaska Airlines
Après ce vol inaugural, Alaska Airlines prévoit de déployer progressivement le Boeing 737 MAX 8 sur l’ensemble de son réseau. Les passagers pourront ainsi bénéficier des avantages de cet avion sur de multiples trajets. La compagnie aérienne envisage également d’acquérir d’autres exemplaires du 737 MAX 8 pour renforcer sa flotte et répondre à la demande croissante de ses clients.
Impact financier prévu
Investissement initial | Prévisions de revenus |
---|---|
$500 millions | $1 milliard |
Conclusion
L’inauguration du Boeing 737 MAX 8 par Alaska Airlines marque une étape importante dans le renouvellement de sa flotte et la modernisation de ses services. Les passagers pourront profiter d’un confort optimal, d’une performance environnementale améliorée et de garanties de sécurité renforcées. Cette nouvelle acquisition devrait également avoir un impact financier positif, avec des prévisions de revenus élevées. Alaska Airlines est donc prête à poursuivre son développement et à offrir à ses clients une expérience de voyage exceptionnelle.
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