Un boeing 747 de Cargolux perd une partie de son train d’atterrissage lors d’un atterrissage d’urgence à Luxembourg
Un Boeing 747 de Cargolux a été contraint d’effectuer un atterrissage d’urgence à Luxembourg dimanche soir après que le signal du système de train d’atterrissage de l’avion ait indiqué un dysfonctionnement. L’avion effectuait un vol régulier de Luxembourg à Chicago lorsque l’incident s’est produit.
Après un atterrissage d’urgence réussi, l’avion a subi d’importants dégâts lorsqu’une partie de son train d’atterrissage s’est détachée. Les autorités ont confirmé que personne n’a été blessé.
Selon ch-aviation, l’appareil impliqué dans l’incident (LX-OCV) était un Boeing 747-400F qui avait été livré à Cargolux en juin 1999. L’avion avait parcouru 109 814 heures de vol et effectué 20 984 cycles de vol au moment de l’incident.
Les deux dernières semaines n’ont pas été de tout repos pour la compagnie aérienne luxembourgeoise Cargolux : un de ses Boeing 747-400 a subi des dommages mineurs après que l’un de ses moteurs ait touché le sol lors de l’atterrissage à Dubaï en avril.
Retour sur les faits
Le vol CV6847 de Cargolux opéré par un Boeing 747-400F enregistré sous le nom de LX-OCV a quitté l’aéroport de Luxembourg Findel dimanche soir à destination de l’aéroport de Chicago O’Hare. Lors du décollage, l’équipage de l’aéronef était dans l’incapacité de rétracter le train d’atterrissage. Le signal de dysfonctionnement du système du train d’atterrissage est survenu après le décollage. L’équipage a décidé de faire demi-tour et de retourner à Luxembourg.
Atterrissage d’urgence et détachement du train d’atterrissage principal
Lors de son atterrissage à l’aéroport de Luxembourg Findel, le train d’atterrissage du boeing 747 a rencontré un grave problème. Le train d’atterrissage principal droit a complètement lâché, touchant au passage une partie arrière de l’appareil, causant d’importants dommages. Malgré les dégâts, l’avion a pu s’immobiliser sur la piste sans heurt. Il y avait des membres d’urgence sur place en raison de la nature de l’atterrissage d’urgence.
Les autorités ont été informées
Cargolux a confirmé l’incident dans un communiqué, déclarant que l’incident s’est produit à 18h52 et que l’avion a été contraint de larguer du carburant pour se préparer à l’atterrissage. Les autorités ont été informées de l’incident dès que possible.
Dégâts importants
Les photos montrent que les dommages causés par l’accident ont effectivement privé l’avion d’une partie importante de son train d’atterrissage principal. Les dégâts à l’arrière de l’avion sont également très visibles, suggérant que l’avion a été exposé à une force considérable lors de son entrée en contact avec la piste.
| L’avion impliqué | Boeing 747-400F |
|---|---|
| Immatriculation de l’avion | LX-OCV |
| Âge de l’avion | 24 ans |
| Compagnie aérienne | Cargolux |
Un Boeing 747-400 de Cargolux atterrit avec un dysfonctionnement du train d’atterrissage
Un avion cargo Boeing 747-400 de Cargolux a atterri en toute sécurité malgré un dysfonctionnement du train d’atterrissage principal de droite. Le vol CV7742 de Cargolux opérait depuis Francfort, en Allemagne, en route vers Chicago, aux États-Unis, lorsqu’il a rencontré des problèmes avec le train d’atterrissage. Après une panne de communication à bord, l’équipage a décidé de poursuivre le vol selon le plan de vol initial. Cependant, il a réduit sa vitesse et est resté en vol pendant plusieurs heures pour brûler du carburant avant de se poser sur la piste de Chicago O’Hare avec le train d’atterrissage principal de droite abaissé.
Les images et les vidéos de l’incident montrent des étincelles et des flammes sortant du train d’atterrissage droit lorsque l’avion est entré en contact avec la piste. Les pompiers de l’aéroport étaient sur place pour arroser le train d’atterrissage et s’assurer qu’il n’y avait pas d’incendie.
Un porte-parole de Cargolux a confirmé l’incident et a déclaré que la compagnie travaillait en étroite collaboration avec les autorités pour déterminer la cause de l’incident. Cargolux a déclaré que la sécurité était toujours sa première priorité et qu’elle avait mis en place des procédures pour gérer cet incident conformément aux normes de sécurité de l’aviation.
Sécurité des avions cargo
Malgré cet incident, les avions cargo restent l’un des moyens de transport les plus sûrs pour le fret. Selon AirlineRatings.com, les compagnies aériennes cargo sont évaluées chaque année en fonction de leur sécurité, et les normes de sécurité sont extrêmement élevées dans le secteur. Les compagnies aériennes cargo doivent respecter les mêmes normes de sécurité que les compagnies aériennes passagers et sont soumises à des inspections régulières.
La FAA (Federal Aviation Administration) américaine a ordonné une inspection obligatoire du train d’atterrissage de tous les Boeing 747-400 cargo et passagers. Cette inspection est obligatoire pour tous les Boeing 747-400 qui ont accumulé plus de 30 000 cycles de pressurisation-dépressurisation du fuselage, ce qui équivaut à environ 20 ans de vols. Les barèmes d’inspection recommandent également que les Boeing 747-400 subissent une inspection de la structure du fuselage tous les six ans.
| Vols commerciaux les plus sûrs – sur 20 ans | Vols commerciaux les moins sûrs – sur 20 ans |
|---|---|
| Qantas | China Airlines |
| Air New Zealand | Saudia Arabian Airlines |
| EVA Air | Kam Air |
| Etihad Airways | Blue Wings |
| Emirates | Safe Air |
Ce classement est basé sur le nombre d’accidents mortels impliquant des passagers sur les 20 dernières années.
Les statistiques montrent clairement que les avions cargo sont très sûrs, avec un taux d’accidents extrêmement faible. La sécurité est une priorité absolue pour l’ensemble de l’industrie de l’aviation, et les compagnies aériennes travaillent constamment à améliorer les normes de sécurité pour garantir que tous les vols sont effectués en toute sécurité.
La compagnie aérienne Jet Airways fait face à de nouveaux obstacles pour son retour. Après avoir interrompu ses opérations en avril 2019, la compagnie indienne avait prévu de relancer ses activités à la mi-2022. Cependant, les autorités réglementaires ont retardé leur décision concernant l’octroi de la licence d’exploitation à Jet Airways, ce qui a conduit à une prolongation de la suspension de ses services.
Les difficultés financières persistent
Le retour de Jet Airways est également entravé par les problèmes financiers auxquels elle est confrontée. Des rapports récents ont mis en évidence les dettes importantes de la compagnie aérienne, qui s’élèveraient à environ 15 milliards de dollars. Les efforts pour récolter les fonds nécessaires à la relance de l’entreprise ont été compliqués par la pandémie de COVID-19, qui a eu un impact négatif sur l’ensemble du secteur aérien.
Un avenir incertain pour les employés de Jet Airways
La suspension prolongée des activités de Jet Airways a eu un impact significatif sur les employés de la compagnie aérienne. Malgré les efforts de la direction pour maintenir le moral et offrir des formations à ses anciens employés, beaucoup se retrouvent sans emploi depuis plusieurs années. L’avenir de ces employés reste incertain, en particulier étant donné le retard dans le retour de Jet Airways sur le marché.
Une concurrence féroce sur le marché aérien indien
La concurrence est rude sur le marché aérien indien, avec plusieurs compagnies aériennes, dont IndiGo, SpiceJet, Vistara et Air India, proposant des vols à des tarifs très compétitifs. Avec un retard dans le retour de Jet Airways, les autres compagnies ont également eu le temps de renforcer leur présence sur le marché, ce qui pourrait rendre la tâche de Jet Airways encore plus difficile lorsqu’elle reprendra ses opérations.
Impact sur les partenaires et les investisseurs
La suspension prolongée des activités de Jet Airways a également eu un impact sur ses partenaires et ses investisseurs, qui ont subi des pertes financières importantes. La compagnie aérienne n’a pas été en mesure de payer ses fournisseurs et certains investisseurs ont perdu leur argent dans l’entreprise. Jet Airways devra regagner la confiance de ses partenaires et de ses investisseurs lorsqu’elle reprendra ses opérations, ce qui pourrait prendre du temps étant donné les difficultés financières qu’elle traverse.
