Avertissement à bord d’un Boeing 777 d’United Airlines : un téléphone en cause
Un vol de la compagnie United Airlines à bord d’un Boeing 777-200 a déclaré une situation d’urgence en raison de fumée provenant du téléphone d’un passager. L’incident s’est produit au-dessus de l’océan Atlantique, et l’équipage a envisagé de dérouter l’avion vers l’aéroport international de St. John’s, au Canada. Finalement, l’urgence a été annulée et l’avion a pu poursuivre son vol à destination de Paris.
Le vol, opéré par United Airlines, a été secoué par cet incident le 19 décembre dernier. La fumée s’est dégagée d’un smartphone d’un passager, poussant l’équipage à déclarer une situation d’urgence imminent avec une possible évacuation d’urgence. Cependant, après une évaluation minutieuse de la situation, il a été jugé que l’atterrissage d’urgence n’était pas nécessaire.
L’appareil en question, un Boeing 777-200ER, immatriculé sous le numéro N78001, appartient à United Airlines et effectuait un vol régulier entre l’aéroport international Newark Liberty (EWR) et l’aéroport international Charles-de-Gaulle/Roissy (CDG) de Paris. Âgé de près de 25 ans, cet avion avait été livré à Continental Airlines en 1998 avant de rejoindre la flotte d’United Airlines en 2010.
L’incident s’est produit environ une heure et trente minutes après le décollage de Newark. L’appareil devait suivre une trajectoire plus nordique au-dessus de l’Atlantique, passant au-dessus de la ville de Boston aux États-Unis et de la collectivité d’outre-mer française de Saint-Pierre-et-Miquelon. C’est à ce moment précis qu’une fumée suspecte provenant du téléphone d’un passager a été détectée.
Après évaluation de la situation par l’équipage, il a été déterminé que le déroutement vers l’aéroport de St. John’s n’était pas nécessaire. L’avion est resté en mode attente pendant un certain temps avant de décider de poursuivre son vol vers Paris en considérant que la situation était sous contrôle.
Cet incident rappelle l’importance de respecter les règles de sécurité en vol, notamment en ce qui concerne les appareils électroniques transportés à bord des avions. Il est crucial de suivre les consignes des compagnies aériennes et de ne pas utiliser les appareils susceptibles de provoquer des incidents de ce genre. Les téléphones doivent être éteints ou en mode avion pendant tout le vol afin d’éviter tout risque potentiel pour la sécurité de l’avion et de ses passagers.
Un avion de la compagnie United Airlines a été contraint de faire un atterrissage d’urgence à l’aéroport international de St. John’s, au Canada, en raison d’un smartphone qui a commencé à dégager de la fumée. L’incident s’est produit alors que l’avion se trouvait à 33 000 pieds d’altitude, au-dessus de l’océan Atlantique, à environ 170 milles marins au nord-est de St. John’s. Les membres d’équipage ont rapidement utilisé des extincteurs pour éteindre le feu provenant du téléphone portable, avant de le placer dans un conteneur de sécurité. Heureusement, aucun dommage ni blessure n’ont été signalés. L’équipage a annulé l’état d’urgence et a demandé l’autorisation de poursuivre le vol vers Paris.
Le personnel à bord de l’avion a immédiatement déclaré une situation d’urgence lorsque de la fumée a été observée provenant du téléphone portable d’un passager. Les contrôleurs aériens ont autorisé l’avion à se dérouter vers l’aéroport international de St. John’s, où une équipe de secours était prête à intervenir. Les membres d’équipage ont rapidement utilisé des extincteurs à halon pour éteindre le feu et ont ensuite placé le téléphone dans un sac de confinement thermique. Après neuf minutes, l’équipage a décidé d’annuler l’état d’urgence et de continuer vers sa destination originale, Paris, sans autre incident.
La situation a nécessité que l’avion entre dans une trajectoire d’attente à 33 000 pieds d’altitude, le temps que l’équipage discute des mesures à prendre et décide s’il est sûr de poursuivre le vol vers Paris. Après environ deux heures et trente minutes, l’avion a repris son cap au-dessus de l’océan Atlantique, indiquant que l’équipage avait déterminé qu’il n’y avait plus de danger immédiat. L’incident est survenu seulement 35 minutes après le décollage et témoigne de l’importance accordée à la sécurité en vol.
Dans cette région du nord-est du Canada, il est courant que les avions en provenance d’Europe effectuent des détours vers des aéroports proches en cas de problèmes techniques, médicaux ou autres. Cela est dû à la situation géographique favorable de la région, qui se trouve à proximité des principales routes aériennes de l’océan Atlantique. Récemment, un vol de Delta Air Lines a également dû effectuer une diversion vers Goose Bay en raison de problèmes techniques. Les autorités de sécurité des transports canadiennes ont ouvert une enquête sur l’incident pour déterminer la cause de l’incident sur le téléphone portable.
Alaska Airlines immobilise sa flotte entière de Boeing 737 MAX 9 après un incident majeur
Alaska Airlines a récemment pris la décision d’immobiliser tous ses Boeing 737 MAX 9 après un incident de crevaison. La compagnie aérienne américaine a décidé de mettre en place cette mesure de précaution afin de garantir la sécurité de ses passagers et de son équipage. Cette décision intervient dans le contexte des problèmes récurrents rencontrés par les avions de la famille Boeing 737 MAX, notamment le MAX 8. Le Max 9, qui est un modèle plus grand, a également été touché par des problèmes mécaniques et des doutes sur sa fiabilité.
La compagnie Iraqi Airways reprend les vols vers la Malaisie avec les Boeing 787
Iraqi Airways a annoncé son intention de reprendre ses vols vers la Malaisie en utilisant des Boeing 787. Cette décision fait suite à une suspension des vols de la compagnie vers la Malaisie en raison de problèmes mécaniques avec ses anciens avions. Les Boeing 787, réputés pour leur efficacité énergétique et leur confort, offriront aux passagers une expérience de voyage améliorée. Cette reprise des vols vers la Malaisie est un signe positif pour la compagnie Iraqi Airways, qui cherche à renforcer sa présence sur le marché international.
Le Boeing 727 privé de Jeffrey Epstein serait destiné à la casse
Selon des rapports récents, le célèbre Boeing 727 privé de Jeffrey Epstein, l’homme d’affaires américain décédé en 2019, serait destiné à la casse. L’avion, qui faisait autrefois partie du luxe associé au milliardaire, serait maintenant considéré comme obsolète et ne répondrait plus aux normes de sécurité en vigueur. Cette nouvelle a suscité des interrogations sur la manière dont les biens de Epstein sont traités après sa mort et sur la question de savoir si d’autres actifs de sa propriété connaîtront le même sort.
FedEx impose des réductions d’heures de vol pour les pilotes pendant les négociations
FedEx a annoncé son intention d’imposer des réductions du nombre d’heures de vol pour les pilotes pendant les négociations en cours. Cette décision a été prise dans le but de faire pression sur les pilotes et de les inciter à accepter les conditions proposées par la compagnie. Cette mesure pourrait avoir un impact sur la fatigue des pilotes et suscite des préoccupations quant à la sécurité des vols. Les négociations entre FedEx et ses pilotes portent notamment sur les salaires, les horaires de travail et les conditions de repos.
La sécurité incendie des avions en composite tels que l’Airbus A350
L’Airbus A350, un avion de ligne construit en grande partie à partir de matériaux composites, suscite des interrogations quant à sa sécurité incendie. Les matériaux composites, bien qu’ils offrent de nombreux avantages en termes de légèreté et de résistance, posent des défis particuliers en cas d’incendie. Les organismes de réglementation et les constructeurs d’avions ont mis en place des mesures spéciales pour minimiser les risques d’incendie, notamment des systèmes de détection et d’extinction avancés. Toutefois, des questionnements persistent quant à la résistance des matériaux composites aux flammes et à la toxicité des fumées émises en cas de feu.