Un avion Alaska Airlines Boeing 737 MAX 9 contraint de revenir à Portland suite à une collision avec un oiseau
Un avion de la compagnie Alaska Airlines, un Boeing 737 MAX 9, a été contraint de faire demi-tour et de revenir à l’aéroport de Portland (PDX) en raison d’une collision avec un oiseau au décollage. Heureusement, l’appareil a pu atterrir en toute sécurité et une autre 737 MAX 9 a été envoyée pour assurer le vol vers San Diego.
Deuxième incident impliquant un Alaska Airlines 737 MAX 9 en quelques semaines
C’est le deuxième incident impliquant un avion Alaska Airlines 737 MAX 9 en quelques semaines. Cependant, cette fois-ci, l’incident a été moins grave que le précédent. La compagnie aérienne a donc pris rapidement les mesures nécessaires pour garantir la continuité du vol et la sécurité des passagers.
Réactions de la compagnie et enquête en cours
Alaska Airlines a réagi rapidement à cet incident en dépêchant un autre 737 MAX 9 pour assurer le vol vers San Diego. La compagnie a également ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de la collision avec l’oiseau. Il est important de comprendre comment cet événement a pu se produire et de prendre les mesures nécessaires pour éviter de tels incidents à l’avenir.
La sécurité reste la priorité absolue
La sécurité des passagers est une priorité absolue pour Alaska Airlines et pour l’industrie de l’aviation dans son ensemble. Les compagnies aériennes mettent en place des procédures strictes pour garantir la sécurité de leurs vols. Cependant, les incidents tels que les collisions avec des oiseaux peuvent parfois survenir malgré toutes les précautions prises.
Bilans des incidents impliquant des oiseaux et des avions
| Types d’incidents | Nombre d’incidents |
| Collisions avec des oiseaux | 1 200 par an en moyenne |
| Dommages substantiels aux avions | Environ 10% des collisions avec des oiseaux |
Mesures de prévention
Les compagnies aériennes mettent en place plusieurs mesures pour prévenir les collisions avec les oiseaux, notamment l’utilisation de radars pour détecter les oiseaux en vol, la formation des pilotes et du personnel de maintenance sur les procédures à suivre en cas de collision, et l’inspection régulière des avions après un incident.
Conclusion
Bien que cet incident avec l’Alaska Airlines Boeing 737 MAX 9 soit préoccupant, il est rassurant de savoir que la compagnie a réagi rapidement pour garantir la sécurité des passagers. Les enquêtes en cours permettront de tirer des enseignements et de prendre les mesures nécessaires pour éviter de tels incidents à l’avenir.
Un avion Alaska Airlines Boeing 737 MAX 9 a été contraint de revenir à l’aéroport international de Portland (PDX) après avoir subi une collision avec des oiseaux lors de son décollage le 13 février 2024. L’avion, immatriculé N926AK, effectuait le vol AS1162 à destination de l’aéroport international de San Diego (SAN).
Peu de temps après le décollage, les pilotes ont contacté le contrôle du trafic aérien (ATC) pour demander une altitude de 4 000 pieds (1 219 mètres) suite à la collision avec les oiseaux. Bien que les pilotes n’aient pas immédiatement précisé l’ampleur des dégâts, ils ont demandé à revenir à PDX.
L’avion a atterri en toute sécurité à PDX à 19h10 et est retourné à la zone des portes de l’aéroport. Une autre Boeing 737 MAX 9, immatriculée N921AK, a été dépêchée par la compagnie aérienne pour effectuer le vol AS1162 vers SAN. Ce deuxième avion a décollé de PDX à 20h55 et est arrivé à SAN à 22h52, soit moins de deux heures après l’heure d’arrivée prévue initialement.
L’avion impliqué dans l’incident, N926AK, est resté au sol à PDX, sans vol prévu le 14 février. Il devrait opérer le vol AS889 à destination de l’aéroport international d’Honolulu (HNL) le lendemain.
Il s’agit de la deuxième fois qu’un avion Alaska Airlines Boeing 737 MAX 9 doit revenir à PDX ces dernières semaines en raison d’un problème. L’incident précédent avait été plus grave, entraînant une immobilisation temporaire de ce type d’avion.
En janvier, un autre Boeing 737 MAX 9 d’Alaska Airlines avait connu une explosion du bouchon de la porte en plein vol alors qu’il effectuait le vol AS1282. L’avion était retourné à PDX en toute sécurité, avec quelques blessures mineures parmi les passagers. Suite à cet incident, la flotte de Boeing 737 MAX 9 des compagnies aériennes Alaska Airlines et United Airlines avait été temporairement clouée au sol de manière volontaire, avant que la Federal Aviation Administration (FAA) n’ordonne l’arrêt des vols avec ce type d’avion le lendemain.
Par la suite, la FAA a émis une directive de navigabilité (AD) détaillant les inspections et, si nécessaire, les actions correctives permettant au Boeing 737 MAX 9 de reprendre du service aux États-Unis. Alaska Airlines et United Airlines ont commencé à remettre leurs avions en service fin janvier, les deux compagnies opérant désormais des vols complets avec le 737 MAX 9.
Cependant, les compagnies aériennes ainsi que d’autres clients de Boeing, dont Emirates, ont exprimé leur frustration quant à l’assurance qualité du fabricant. La FAA a également critiqué vivement Boeing, annonçant publiquement qu’elle n’autoriserait pas le fabricant à produire plus de 38 avions 737 MAX par mois tant qu’elle ne serait pas satisfaite du contrôle de qualité de Boeing dans ses installations.
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La flotte d’American Airlines se compose principalement de monocouloirs, tels que le Boeing 737 et l’Airbus A320, qui sont utilisés pour les vols domestiques et les vols court-courriers. Toutefois, la compagnie possède également des biréacteurs long-courriers, tels que le Boeing 777 et l’Airbus A330, pour les vols internationaux.
Dans ses plans d’expansion, American Airlines prévoit de renouveler et d’agrandir sa flotte en intégrant de nouveaux avions. La compagnie a déjà passé des commandes pour plus de 175 avions Boeing 737 MAX pour remplacer les anciens modèles et augmenter sa capacité.
Cette stratégie de renouvellement de flotte permettra à American Airlines de bénéficier d’une plus grande efficacité énergétique et de réduire son empreinte carbone. De plus, les nouveaux avions offriront également un plus grand confort aux passagers grâce à des aménagements intérieurs modernes.
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Les pilotes ont soulevé des problèmes tels que des horaires de travail imprévisibles, des périodes de repos insuffisantes et des pressions croissantes pour respecter des délais serrés. Selon les pilotes, ces problèmes mettent en danger leur sécurité et celle des passagers.
Le syndicat a adressé une lettre à la direction de Qantas Network Aviation, demandant des mesures correctives urgentes pour améliorer les conditions de travail des pilotes. Des discussions sont en cours entre les représentants syndicaux et la direction, dans l’espoir de parvenir à un accord satisfaisant pour toutes les parties.
