ATC Transcript suggère que le Dash 8 de la garde côtière n’était pas autorisé à entrer sur la piste avant l’accident de Japan Airlines
Une transcription des échanges de contrôleurs aériens (ATC) suggère que le Dash 8 – l’un des avions impliqués dans l’ récent incident de Tokyo Haneda – n’était pas autorisé à entrer sur la piste avant le crash de Japan Airlines. L’incident est toujours en cours d’enquête.
Le 4 janvier 2024, un avion de la garde côtière japonaise Dash 8 a été impliqué dans une collision avec un avion de la compagnie aérienne Japan Airlines sur la piste de l’aéroport de Tokyo Haneda. L’incident a entraîné d’importantes perturbations dans le trafic aérien.
La transcription des communications radio entre les contrôleurs aériens et les pilotes du Dash 8 semble indiquer que l’avion de la garde côtière n’a pas reçu l’autorisation de pénétrer sur la piste avant que l’accident ne se produise. Cela soulève des questions sur les procédures de contrôle du trafic aérien et les responsabilités des différents acteurs impliqués.
L’accident a eu des conséquences graves, avec plusieurs blessés parmi les passagers des deux avions. Les autorités aéroportuaires et les organismes de sécurité ont immédiatement mis en place une enquête approfondie pour déterminer les causes exactes de l’incident et les éventuelles négligences.
Un porte-parole de la garde côtière a déclaré qu’ils coopéraient pleinement avec l’enquête et qu’ils étaient prêts à prendre les mesures nécessaires pour éviter que des incidents similaires ne se reproduisent à l’avenir.
Cet accident met en lumière l’importance d’une coordination et d’une communication efficaces entre les différents acteurs du transport aérien. Les contrôleurs aériens jouent un rôle crucial dans la sécurité des vols et la prévention des collisions, et il est essentiel de revoir régulièrement les procédures et d’améliorer les systèmes pour garantir la sécurité de tous.
Collision évitée de justesse entre un avion de Japan Airlines et un avion des garde-côtes japonais à l’aéroport de Tokyo Haneda
De nouveaux détails ont émergé sur la collision entre un Airbus A350 de Japan Airlines et un Dash 8 des garde-côtes japonais le 2 janvier dernier à l’aéroport de Tokyo Haneda. Les transcriptions révèlent que le contrôle aérien a demandé au Dash 8 de s’arrêter avant la piste active pendant que l’A350 atterrissait. Des rapports indiquent également que les feux d’avertissement du point d’attente étaient défectueux lors de l’incident.
Les transcriptions des communications entre le contrôle aérien et les deux avions impliqués dans l’incident révèlent que l’A350 de Japan Airlines a reçu l’autorisation d’atterrir tandis que le Dash 8 des garde-côtes a été prié de s’arrêter avant la piste. Le vol JL516 de Japan Airlines en provenance de Sapporo à destination de Tokyo Haneda a été autorisé à atterrir sur la piste 34R. Le Dash 8, quant à lui, a reçu l’ordre de « rouler jusqu’au point d’attente C5 », une instruction que les pilotes de l’avion à hélices ont confirmée. Les transcriptions montrent une communication apparemment claire, mais seul un rapport officiel pourra révéler s’il y avait d’autres lacunes qui auraient pu conduire le Dash 8 à entrer par erreur sur la piste active.
De plus, il a été rapporté que les feux rouges avertisseurs qui indiquent aux avions en taxi de s’arrêter avant la piste 34R étaient hors service au moment de l’incident. Le Bureau d’Enquêtes et d’Analyses (BEA) de France et le Bureau de la sécurité des transports du Japon (JTSB) enquêtent sur les causes de l’incident.
Tous les passagers de Japan Airlines sont sains et saufs
L’incident marque la première perte de coque jamais enregistrée pour un Airbus A350. L’avion a pris feu après la collision avec le Dash 8 et a parcouru la piste en flammes aux fenêtres et dans la zone du moteur. Incroyablement, tous les occupants de l’avion ont été évacués en toute sécurité, et Japan Airlines a déclaré : « Japan Airlines a confirmé que 367 passagers (dont 8 nourrissons) et 12 membres d’équipage ont évacué l’avion en toute sécurité. 11 passagers ont été transportés à l’hôpital ou à la clinique pour cause de malaise. »
Malheureusement, cinq des six personnes à bord de l’avion des garde-côtes ont péri dans le crash, le capitaine de l’avion étant le seul survivant. Selon les médias locaux, l’avion à hélices était en mission pour livrer des fournitures essentielles à l’aéroport de Niigata (KIJ) dans la préfecture d’Ishikawa, touché par un important tremblement de terre plus tôt.
Conclusion
L’enquête sur la collision entre l’Airbus A350 de Japan Airlines et le Dash 8 des garde-côtes japonais se poursuit. Les transcriptions des communications révèlent que l’A350 a reçu l’autorisation d’atterrir tandis que le Dash 8 a été prié de s’arrêter avant la piste. De plus, il a été signalé que les feux d’avertissement étaient défectueux lors de l’incident. Heureusement, tous les occupants de l’A350 ont été évacués en toute sécurité, mais malheureusement cinq personnes à bord du Dash 8 ont perdu la vie. Les enquêteurs continueront d’examiner toutes les informations disponibles pour déterminer les causes exactes de l’incident.
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Un incident entre un Dash 8 de la Garde côtière et un avion de Japan Airlines
Une transcription des communications entre contrôle aérien suggère que le Dash 8 de la Garde côtière n’a pas été autorisé à entrer sur la piste avant l’accident avec l’avion de Japan Airlines. Cette révélation place la responsabilité de l’incident sur les épaules de la Garde côtière. Les enquêteurs tentent actuellement de déterminer les causes exactes de l’accident et les éventuelles négligences qui ont pu jouer un rôle dans cet incident tragique.
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Air New Zealand élu compagnie aérienne la plus sûre en 2023
La compagnie aérienne Air New Zealand vient de remporter le titre de la compagnie la plus sûre en 2023. Ce classement est établi chaque année par la CATO (Civil Aviation Safety Authority) qui évalue les principaux critères de sécurité des compagnies aériennes à travers le monde. Air New Zealand s’est distinguée par son engagement constant en matière de sécurité, surpassant ainsi ses concurrents.
Le critère principal pris en compte par la CATO est le taux d’accidents et d’incidents graves par million de kilomètres parcourus. Air New Zealand affiche un taux impressionnant de 0,13, confirmant ainsi son engagement envers la sécurité de ses passagers. Cette performance est le résultat d’une politique stricte de maintenance et de contrôles réguliers effectués sur sa flotte.
Outre sa performance en matière de sécurité, Air New Zealand se distingue également par la qualité de son service à bord. La compagnie propose un large éventail de divertissements, des repas raffinés et un personnel attentif aux besoins de chaque passager. Cet aspect est également pris en compte dans le classement établi par la CATO.
Les compagnies aériennes les plus sûres en 2023 selon la CATO :
| Compagnie aérienne | Taux d’accidents graves (pour 1 million de kilomètres) |
|---|---|
| Air New Zealand | 0,13 |
| Qantas | 0,18 |
| Finnair | 0,22 |
| Emirates Airlines | 0,23 |
| EVA Air | 0,27 |
La biennale des compagnies aériennes les plus sûres est un événement très attendu par les voyageurs du monde entier. Ces résultats sont rassurants pour les passagers qui accordent une grande importance à la sécurité lorsqu’ils choisissent une compagnie aérienne.
Air New Zealand se positionne donc comme un leader en matière de sécurité aérienne et devance des compagnies prestigieuses telles que Qantas, Finnair, Emirates Airlines et EVA Air. Ce classement confirme une fois de plus l’engagement de la compagnie envers la sécurité de ses passagers.
