NTSB publie rapport préliminaire sur la défaillance du train d’atterrissage du Boeing 737 d’Alaska Airlines
L’Agence nationale de la sécurité des transports (NTSB) a publié un rapport préliminaire sur la défaillance du train d’atterrissage d’un Boeing 737 d’Alaska Airlines. L’incident s’est produit lorsque l’avion a touché le sol bien en dessous du seuil de dureté d’atterrissage.
Des résultats préliminaires indiquent une faible performance
Le rapport préliminaire de la NTSB souligne que la vitesse de l’avion pendant l’atterrissage était inférieure à celle recommandée par le constructeur. De plus, l’angle d’approche était également plus faible que prévu. Ces facteurs combinés ont conduit à un atterrissage plus doux que prévu, mettant ainsi une pression excessive sur le train d’atterrissage.
La fatigue des matériaux en cause
Le rapport indique également que la fatigue des matériaux a joué un rôle dans la défaillance du train d’atterrissage. Une inspection approfondie a révélé des fissures dans certaines pièces critiques, ce qui suggère une usure accumulée au fil du temps.
Les conséquences de l’incident
La défaillance du train d’atterrissage a entraîné l’immobilisation de l’avion et l’annulation du vol suivant. Heureusement, aucun passager n’a été blessé lors de cet incident. Cependant, cet incident soulève des préoccupations quant à la maintenance et à l’inspection régulières des trains d’atterrissage.
Les mesures prises par Alaska Airlines
Alaska Airlines a déclaré qu’elle procédera à une inspection approfondie de tous ses avions de la série 737 afin d’évaluer l’état du train d’atterrissage et de détecter d’éventuelles fissures ou autres signes de fatigue des matériaux. Les avions concernés resteront immobiles jusqu’à ce que les inspections soient terminées.
Répercussions possibles sur le secteur aérien
Cet incident soulève également des questions plus larges sur la maintenance et la sécurité dans l’industrie aérienne. Il met en évidence l’importance de la surveillance continue et de l’entretien régulier des avions pour garantir la sécurité des passagers et de l’équipage.
Conclusion provisoire
Le rapport préliminaire de la NTSB sur la défaillance du train d’atterrissage du Boeing 737 d’Alaska Airlines met en évidence des problèmes de vitesse et d’angle d’approche lors de l’atterrissage. Il souligne également l’importance de la maintenance régulière et de l’inspection des trains d’atterrissage pour prévenir de tels incidents à l’avenir. Les résultats définitifs de l’enquête de la NTSB seront attendus pour établir les causes exactes de cet incident.
Un Boeing 737-800 d’Alaska Airlines endommagé lors de l’atterrissage pendant la tempête tropicale Hilary
Un Boeing 737-800 d’Alaska Airlines a subi de graves dommages lors d’un atterrissage pendant la tempête tropicale Hilary, avec le train d’atterrissage gauche endommagé. L’équipage de vol a remarqué que l’avion penchait fortement à gauche après l’atterrissage, et il a été découvert par la suite que le pivot du train d’atterrissage principal gauche s’était fracturé. Malgré l’atterrissage brutal et les dommages, les données ont montré que l’avion avait touché le sol dans les limites acceptables, et une analyse plus approfondie est en cours pour déterminer la cause de la fracture du pivot.
L’atterrissage pendant la tempête tropicale Hilary
L’incident s’est produit le 20 août, lorsque le vol 1288 d’Alaska Airlines devait partir de l’aéroport international de Seattle-Tacoma à destination de l’aéroport John Wayne-Orange County. L’avion utilisé pour ce vol était un Boeing 737-800 âgé de près de 15 ans et immatriculé N516AS, avec à son bord 106 passagers et six membres d’équipage. Bien que ce vol aurait normalement été banal, la tempête tropicale Hilary faisait rage.
Malgré l’amélioration des conditions météorologiques, le rapport du National Transportation Safety Board (NTSB) a suggéré que l’équipage de vol avait discuté qu’un atterrissage plus ferme était le plus approprié, l’avion étant totalement configuré et la checklist pré-atterrissage étant terminée. Alors qu’ils effectuaient des rapports de position via la fréquence d’avis de trafic commun, puisque la tour était fermée, et dès qu’ils ont aperçu la piste, le commandant de bord – qui était le pilote aux commandes – a désactivé le pilote automatique et l’autothrottle.
Le copilote a surveillé l’état du vol pendant l’approche et a signalé que l’avion était à la bonne vitesse et sur la trajectoire. Tous les systèmes étaient opérationnels pendant la descente – y compris toutes les lumières vertes indiquant la position du train d’atterrissage. L’avion a traversé l’extrémité de la piste sur la trajectoire de descente et a touché le sol juste après le marqueur des 1 000 pieds à l’aéroport John Wayne vers 23h15.
Dommages et enquête
Après l’arrêt sur la voie de circulation, l’équipage a observé que l’avion penchait trop à gauche, incitant le commandant de bord à mettre le frein de parking et à ouvrir sa fenêtre pour mieux observer. Il a alors été remarqué que l’avion reposait sur le capot du moteur gauche. Bien qu’il semblait fonctionner normalement, le commandant de bord n’a pris aucun risque et a coupé le moteur gauche. Avec l’unité d’alimentation auxiliaire en marche, le commandant a également coupé le moteur droit.
Les examens effectués après l’accident et les enquêtes préliminaires du NTSB ont révélé que le pivot du train d’atterrissage principal gauche s’était fracturé, ce qui a entraîné une perforation des panneaux composites et une protubérance au-dessus de la surface de l’aile. La cause de la fracture du pivot est maintenant en cours d’analyse au laboratoire d’analyse de la qualité de l’équipement de Boeing à Seattle. L’enquête du NTSB sur cet incident se poursuit.
Dans une récente déclaration, la NTSB (National Transportation Safety Board) a publié un rapport préliminaire sur l’incident survenu à bord d’un Boeing 737 d’Alaska Airlines, qui a connu une défaillance du train d’atterrissage lors de son dernier vol. Le rapport met en évidence les problèmes techniques qui ont conduit à cet événement inquiétant.
Les détails de l’incident
L’incident s’est produit lors de l’atterrissage à l’aéroport international de Los Angeles. Le rapport indique que le train d’atterrissage principal droit s’est partiellement rétracté, ce qui a provoqué une asymétrie de l’avion pendant la phase d’atterrissage. L’équipage de conduite a remarqué cet incident et a immédiatement signalé la situation à la tour de contrôle.
La réaction d’Alaska Airlines
Alaska Airlines a pris des mesures immédiates pour faire face à cette situation. L’équipage a suivi les procédures d’urgence appropriées et a effectué un atterrissage en toute sécurité malgré les difficultés. Les passagers et l’équipage n’ont pas été blessés lors de cet incident. En coordination avec la NTSB, la compagnie aérienne a suspendu temporairement les vols des avions de ce type jusqu’à ce que les problèmes techniques soient résolus.
Les investigations de la NTSB
La NTSB a entrepris une enquête approfondie pour déterminer les causes exactes de cette défaillance du train d’atterrissage. Les premières évaluations indiquent que l’événement pourrait être lié à une défaillance mécanique du système hydraulique du train d’atterrissage. Cependant, il est important de mener des tests et des analyses supplémentaires pour confirmer cette hypothèse.
L’importance de la sécurité aérienne
Cet incident souligne une fois de plus l’importance cruciale de la sécurité aérienne et du suivi régulier de l’état des avions. Les compagnies aériennes doivent veiller à ce que leurs avions soient toujours en bon état de fonctionnement et respectent les normes de sécurité les plus strictes.
Tableau : Résumé de l’incident
Date | Compagnie aérienne | Type d’avion | Problème technique |
---|---|---|---|
12 février 2022 | Alaska Airlines | Boeing 737 | Défaillance du train d’atterrissage |
En conclusion, cet incident survenu à bord d’un Boeing 737 d’Alaska Airlines souligne l’importance de la sécurité aérienne et de la vigilance constante des compagnies aériennes pour garantir le bon fonctionnement de leurs avions. Il reste maintenant à la NTSB à mener des investigations approfondies pour déterminer les causes exactes de cette défaillance du train d’atterrissage.
Biman Bangladesh envisage de desservir Los Angeles
La compagnie aérienne Biman Bangladesh a récemment exprimé son intérêt pour l’ouverture de services vers Los Angeles. Cette annonce intervient après que la compagnie ait confirmé son engagement envers l’acquisition de 10 avions Airbus A350. Selon le président français, Emmanuel Macron, Biman Bangladesh s’est officiellement engagée à acquérir cette flotte.
Les pilotes d’Alaska Airlines ont également fait part de leurs préoccupations quant au sort de leur dernier avion Airbus A321neo de la flotte Virgin America. Ils souhaitent organiser un événement significatif pour marquer ce dernier vol.
Biman Bangladesh et son expansion
Avec l’arrivée des nouveaux Airbus A350, Biman Bangladesh cherche à étendre ses opérations vers de nouvelles destinations. Les vols vers Los Angeles sont l’une des options envisagées par la compagnie aérienne. Cette nouvelle route serait une expansion majeure pour Biman Bangladesh, lui permettant de desservir la côte ouest des États-Unis.
Cette expansion s’inscrit dans la stratégie de croissance de Biman Bangladesh, visant à renforcer sa présence sur les marchés internationaux. Les nouveaux avions Airbus A350, connus pour leur efficacité énergétique et leur confort accru, aideront la compagnie aérienne à offrir une expérience de voyage de qualité à ses passagers.
Les pilotes d’Alaska Airlines veulent rendre hommage
Les pilotes d’Alaska Airlines, qui ont récemment fusionné avec Virgin America, souhaitent organiser un événement spécial pour marquer le dernier vol de l’Airbus A321neo de la flotte Virgin America. Cette cérémonie symbolique permettra aux pilotes et aux membres d’équipage de rendre hommage à l’avion et à la marque Virgin America.
Cette initiative témoigne de l’importance accordée à la culture d’entreprise et à l’héritage de Virgin America au sein d’Alaska Airlines. Les pilotes veulent préserver les souvenirs de Virgin America et honorer la contribution de la compagnie aérienne à l’industrie.