Un employé de Saudia secouru par l’armée libanaise
Après avoir été retenu en otage pendant 48 heures, un employé administratif de Saudia, Mashari al-Mutairi, a été secouru aujourd’hui par l’armée libanaise. Selon les autorités libanaises, les kidnappers avaient exigé une rançon de 400 000 dollars pour sa libération. Heureusement, personne n’a payé cette somme, et Al-Mutairi a été retrouvé en bonne santé après l’opération menée par les forces gouvernementales, qui ont arrêté neuf suspects au cours de la même opération.
La police libanaise a déclaré que Al-Mutairi avait été enlevé alors qu’il se rendait de sa maison située à Aramoun, dans la région du Mont-Liban, à l’aéroport international de Rafic Hariri de Beyrouth. Les instances gouvernementales libanaises ont alors été contactées par la famille de l’otage, qui a reçu des messages de demande de rançon. Suite à une enquête menée par des services de renseignement de l’armée libanaise, les équipes ont réussi à localiser plusieurs des ravisseurs et ont mené plusieurs raids qui ont permis de récupérer Al-Mutairi.
Opération de sauvetage réussie
Lors des opérations de sauvetage, la police libanaise a d’abord mené des raids dans les maisons de quatre ravisseurs présumés impliqués dans l’enlèvement avant de réaliser une mission de sauvetage. Al-Mutairi a été récupéré sans dommage, mais les opérations de sauvegarde ont été marquées par des coups de feu tirés sur un centre militaire et une propriété appartenant à un soldat.
Aucun membre de la police n’a été blessé lors des opérations de sauvetage. Après avoir été libéré, Al-Mutairi a été emmené dans un bureau du service de renseignement de l’armée libanaise à Hermel pour recevoir des soins médicaux et sera prochainement renvoyé dans son pays d’origine. Cette action a été saluée par le gouvernement libanais et le gouvernement saoudien, qui a remercié les libanais pour leur professionnalisme et leur rapidité dans l’opération de sauvetage.
Le contexte de l’affaire
L’affaire s’est déroulée lorsqu’Al-Mutairi a été kidnappé à Beyrouth alors qu’il se dirigeait vers l’aéroport. Les autorités ont ensuite été informées par la famille de l’otage qu’il était entre les mains de kidnappers qui exigeaient une somme de 400 000 dollars en échange de sa libération. Les autorités libanaises ont affirmé que cette affaire était une priorité pour les forces de police, qui envisagent de poursuivre les ravisseurs avec le plus de rigueur possible.
Le gouvernement libanais a également déclaré qu’il était déterminé à protéger la sécurité de tous les citoyens et employés étrangers, en particulier ceux qui vivent et travaillent au Liban. Cette crise a mis en lumière la nécessité de renforcer les mesures de sécurité pour protéger les résidents et les citoyens et de mener une enquête rigoureuse sur les personnes impliquées dans la conduite de l’enlèvement.
Sources : Aljazeera, The National, Reuters, Arab News.
Delta Air Lines est visée par une action collective pour avoir manqué sa promesse de carboneutralité
La compagnie aérienne Delta Air Lines fait face à une action collective intentée par des investisseurs. Ces derniers reprochent à la compagnie de ne pas avoir tenu sa promesse de devenir carboneutre d’ici 10 ans, dans le cadre de son plan de restructuration. En effet, la plainte soutient que Delta a fait de fausses déclarations concernant son engagement en matière de durabilité lors de sa recapitalisation en 2020. Les investisseurs ont affirmé que Delta avait laissé entendre qu’elle allait investir dans des technologies de captage de carbone pour atteindre la carboneutralité d’ici 2030, alors qu’en réalité, elle s’attend à ce que la demande de carburant augmente considérablement dans les années à venir.
Un employé de Saudi Airlines kidnappé par le Hezbollah libanais est enfin libéré
Un employé saoudien de Saudi Airlines a été enlevé par le groupe terroriste Hezbollah libanais en 2017, alors qu’il se rendait à l’aéroport de Beyrouth. Le Hezbollah avait alors demandé une rançon de 1,5 million de dollars pour le libérer, mais sa famille avait refusé de payer. Après quatre ans de captivité, le gouvernement libanais a réussi à négocier sa libération, avec l’aide de l’Arabie Saoudite. Il a depuis regagné son pays après avoir été examiné par des médecins.
SkyWest Airlines fait don d’un avion à un collège en Californie
Le collège de Mt. San Antonio en Californie recevra un avion Bombardier CRJ200 de SkyWest Airlines, pour permettre aux étudiants de la filière aéronautique de se former sur un vrai avion. Cet avion sera le premier d’un nouvel installé de maintenance aéronautique, financé par l’État de Californie et le collège. Selon le PDG de SkyWest, cet investissement dans l’avenir des jeunes est crucial pour l’industrie de l’aviation, qui prévoit une forte croissance dans les années à venir.
American Airlines retire 10 000 vols de son calendrier de septembre
American Airlines a annoncé qu’elle retirerait 10 000 vols de son calendrier de septembre, en raison des défis que pose l’épidémie de COVID-19. En effet, la diminution de la demande de vols en raison de la pandémie a contraint la compagnie aérienne à ajuster sa capacité en conséquence. Cela signifie que les voyageurs peuvent s’attendre à des annulations de vols et des changements d’itinéraires de dernière minute. Les passagers concernés pourront se faire rembourser ou réserver un autre vol à une date ultérieure.
Cathay Pacific envisage d’acquérir les Boeing 777X Freighter
Selon des sources proches du dossier, Cathay Pacific envisage de commander les Boeing 777X Freighter, le tout nouveau cargo de la compagnie aérienne américaine. Le transporteur de Hong Kong serait en train de négocier avec Boeing pour un éventuel achat de ces avions. Les avions permettraient d’augmenter la capacité de fret de Cathay Pacific, qui a subi une baisse de la demande de fret en raison de la pandémie de COVID-19. Cela permettrait également de remplacer les anciens Boeing 747-400 du transporteur, qui sont en train d’être progressivement retirés de la flotte.
Qantas se sépare de son premier Boeing 717 et se prépare pour l’arrivée de l’Airbus A220
Qantas a dit adieu à son premier Boeing 717, en le vendant à un autre transporteur aérien. Le départ de l’avion marque une étape importante pour la compagnie australienne qui a lancé le Boeing 717 en 2000. Selon Alan Joyce, PDG de Qantas, l’arrivée de l’Airbus A220 sera un tournant pour la compagnie aérienne, qui espère proposer un service plus confortable et plus rentable avec cet avion. En effet, l’A220 doit permettre à Qantas de réduire les coûts d’exploitation de 20 % et d’offrir davantage de confort à ses passagers, avec des sièges plus larges et plus spacieux.