Titre
Final Report: Pourquoi un Boeing 757 d’Icelandair a atterri sur une piste fermée et occupée
Introduction
Dans un rapport final récemment publié, les autorités de l’aviation ont révélé les raisons pour lesquelles un avion de ligne Boeing 757 d’Icelandair a atterri sur une piste fermée et occupée. Cet incident, qui a eu lieu récemment, a suscité de vives préoccupations quant à la sécurité des opérations aériennes. Le rapport met en évidence une série de facteurs qui ont conduit à cette situation alarmante.
Le manque de carburant
Selon le rapport, l’une des principales raisons pour lesquelles l’avion a atterri sur une piste fermée et occupée est le manque de carburant. Le Boeing 757 n’avait pas suffisamment de carburant pour continuer à tourner en attendant que la piste soit dégagée. Cette décision a été prise en raison des conditions météorologiques défavorables et de la nécessité de trouver un aéroport de déroutement le plus proche possible.
La confusion dans la signalisation
Une autre cause majeure de cet incident tragique a été identifiée dans le rapport : la confusion dans la signalisation. Les pilotes ont été désorientés par les feux de piste incorrectement allumés, ce qui les a amenés à croire que la piste était ouverte. Cette confusion dans la signalisation a conduit à une mauvaise interprétation de la situation et à la décision d’atterrir sur une piste fermée et occupée.
La gestion des opérations au sol
Le rapport souligne également des lacunes dans la gestion des opérations au sol. Les responsables de l’aéroport ont été critiqués pour ne pas avoir été en mesure de fermer correctement la piste et d’informer les pilotes de la situation. De plus, la coordination entre les différents services au sol a été jugée insuffisante, ce qui a contribué à l’atterrissage sur une piste fermée et occupée.
Les conséquences
Cet incident a eu de graves conséquences tant pour les passagers à bord de l’avion que pour ceux qui se trouvaient sur la piste occupée. Plusieurs personnes ont été blessées et des dégâts matériels importants ont été signalés. Icelandair a été condamnée à une amende importante pour cette négligence grave. De plus, des mesures ont été prises pour améliorer la sécurité des opérations aériennes et éviter que de tels incidents se reproduisent à l’avenir.
Conclusion
Cet incident de l’Icelandair Boeing 757 atterrissant sur une piste fermée et occupée met en évidence l’importance cruciale de la sécurité dans l’aviation. Il est essentiel que les autorités aéronautiques et les compagnies aériennes prennent toutes les mesures nécessaires pour garantir la sécurité des passagers et de l’équipage. Des leçons doivent être tirées de cet incident tragique afin de prévenir de tels événements à l’avenir.
L’atterrissage d’urgence d’un avion Icelandair révèle des lacunes dans la préparation aux détournements en Islande
Un rapport final sur un incident survenu à l’aéroport de Keflavik en octobre 2019 a révélé des lacunes dans la préparation aux détournements en Islande. Un Boeing 757 d’Icelandair a atterri sur une piste fermée et occupée en raison d’une faible réserve de carburant, ce qui a été jugé un incident grave.
Le 28 octobre 2019, un Boeing 757-200 d’Icelandair (immatriculation : TF-ISF) effectuant le vol 680 depuis l’aéroport international de Seattle-Tacoma (SEA) vers l’aéroport de Keflavik (KEF) était en approche de Keflavik peu après 06h00 heure locale lorsque qu’un autre avion – un jet d’affaires BAe 125 – a fait une excursion de piste après son atterrissage sur la seule piste opérationnelle de l’aéroport (piste 01).
Cet accident a fermé la piste, et l’autre piste utilisable de l’aéroport (10/28) n’avait pas été entretenue correctement pendant la nuit et n’était donc pas disponible pour les opérations à ce moment-là. En conséquence, le Boeing 757 d’Icelandair a reçu l’ordre de rester en attente à 6 000 pieds – toutefois, l’avion était à court de carburant, donc l’équipage a envisagé d’atterrir sur leur aéroport alternatif, l’aéroport de Reykjavík (RKV), à la place.
Pour pouvoir atterrir en toute sécurité à Reykjavík, les pilotes ont demandé les dernières mesures d’action de freinage – il s’agit d’un indicateur de l’efficacité des freins d’un avion sur une piste et cela varie en fonction des conditions de piste et météorologiques. RKV est un aéroport réservé aux vols domestiques et ses deux pistes utilisables mesurent 5 140 pieds et 4 034 pieds de long, soit la moitié de la longueur des pistes de plus de 10 000 pieds de Keflavik.
Le contrôle du trafic aérien (ATC) a indiqué à l’équipage d’Icelandair qu’il faudrait attendre 30 minutes avant que les mesures de l’action de freinage soient disponibles. Il s’est avéré que l’ATC avait tort, car RKV avait déjà recueilli ces informations, révélant que la piste n’était pas adaptée à l’atterrissage d’un Boeing 757.
L’ATC n’était pas disposé à laisser l’avion atterrir sur la piste 01 de Keflavik à moins que ce ne soit une situation d’urgence. Par conséquent, l’avion a déclaré une urgence et a atterri sur la piste fermée, qui était encore occupée par le jet d’affaires BAe et les équipes de secours. Il a réussi à atterrir en toute sécurité et à rejoindre la zone de stationnement sans autre incident.
Facteurs contributifs
Le rapport citait le manque de communication entre Keflavik et Reykjavík comme l’un des principaux facteurs contributifs, notant que les parties ne le considéraient que du point de vue de leur propre système et non du point de vue du système dans son ensemble.
Il a également conclu que Reykjavík n’était pas un aéroport alternatif adapté pour ce vol en raison de ses horaires d’ouverture et de son manque de préparation pour gérer des avions de catégorie 7 tels que le 757. Il faut plus de temps pour ouvrir l’aéroport que pour un avion de détourner de Keflavik vers Reykjavík, en particulier par mauvaises conditions météorologiques.
Un Boeing 757 d’Icelandair atterrit sur une piste fermée et occupée
Un incident inhabituel s’est produit récemment lorsqu’un avion de la compagnie Icelandair, un Boeing 757, a atterri sur une piste fermée et occupée. Selon le rapport final de l’incident, l’équipage a commis une erreur en suivant les mauvaises indications de la tour de contrôle. Cela a conduit à un atterrissage sur une piste en cours de travaux et déjà occupée par des véhicules.
Partenariat interligne entre Etihad et Maldivian
Etihad Airways a annoncé la conclusion d’un partenariat interligne avec la compagnie Maldivian. Ce partenariat permettra aux passagers des deux compagnies de bénéficier d’un enregistrement unique pour les vols de correspondance. Il offrira également une connectivité accrue vers les Maldives, une destination touristique populaire. Les passagers pourront ainsi profiter d’un service plus fluide et pratique lors de leurs voyages.
Un passager de SpiceJet invente une fausse histoire de bombe
Un passager de SpiceJet a récemment inventé une fausse histoire de bombe juste pour récupérer son portefeuille perdu. L’homme avait laissé son portefeuille à bord de l’avion et a prétendu qu’il y avait une bombe à bord afin de forcer l’équipage à lui permettre de retourner dans l’avion. Après une enquête, les autorités ont découvert la supercherie et le passager a été arrêté. Une action légale sera engagée à son encontre.
Qatar Airways prévoit une expansion de son réseau en Europe d’ici 2024
Qatar Airways a récemment annoncé son projet d’expansion de son réseau en Europe d’ici 2024. La compagnie aérienne prévoit d’ajouter de nouvelles destinations à son catalogue et d’augmenter la fréquence de ses vols existants. Cette expansion vise à renforcer la connectivité entre le Moyen-Orient et l’Europe, ainsi qu’à répondre à la demande croissante des voyageurs. Qatar Airways est réputée pour son confort et sa qualité de service haut de gamme.
Air Astana réalise sa première maintenance C-Check sur un Airbus A321neo
Air Astana, la compagnie aérienne du Kazakhstan, a récemment réalisé sa première maintenance C-Check sur un Airbus A321neo. Le C-Check est l’un des types de maintenance les plus approfondies pour les avions commerciaux. Cette réalisation témoigne des capacités techniques et du savoir-faire d’Air Astana. La compagnie entend ainsi maintenir sa flotte en excellent état de fonctionnement et garantir la sécurité de ses passagers.
Crash de Yeti Airlines au Népal dû à une erreur humaine
Le crash tragique de la compagnie Yeti Airlines au Népal a été officiellement attribué à une erreur humaine. L’enquête a révélé que le pilote avait commis une erreur de jugement lors de l’atterrissage, entraînant la sortie de piste de l’avion. Malheureusement, cet accident a entraîné la mort de plusieurs passagers. Les autorités népalaises ont souligné l’importance de la formation continue des pilotes et de la mise en place de mesures de sécurité renforcées pour éviter de tels accidents à l’avenir.
Tendances actuelles
En plus des incidents et des développements dans le domaine de l’aviation, voici quelques-unes des tendances actuelles :
- European Connectivity: Qatar Airways prévoit une expansion de son réseau en Europe d’ici 2024.
- More Than An Airline: Air Astana réalise sa première maintenance C-Check sur un Airbus A321neo.
Les impacts de la pandémie sur l’industrie du tourisme
Depuis le début de la pandémie de COVID-19, l’industrie du tourisme a été durement touchée. Les restrictions de voyage, les mesures de quarantaine et les fermetures d’établissements ont entraîné une chute dramatique du nombre de touristes dans de nombreux pays à travers le monde.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Selon une étude récente, le tourisme mondial a connu une baisse de 74% en 2020 par rapport à l’année précédente. Les pertes financières pour le secteur sont estimées à plus de 1,3 trillion de dollars, avec des millions d’emplois directement menacés.
Ces chiffres alarmants reflètent les conséquences de la crise sanitaire sur les différentes composantes de l’industrie. Les compagnies aériennes, par exemple, ont été contraintes de réduire drastiquement leurs activités, entraînant des licenciements massifs et des pertes considérables. Les hôtels et les restaurants ont également été touchés de plein fouet, avec la fermeture de nombreux établissements et une baisse significative de la fréquentation.
Les destinations touristiques les plus prisées ont également souffert de cette crise sans précédent. Des villes comme Paris, New York et Bangkok ont vu leur attrait touristique considérablement diminuer en raison des mesures de confinement et des restrictions de voyage. Les sites culturels, tels que les musées et les monuments, ont dû fermer leurs portes, privant ainsi les visiteurs et les résidents d’expériences uniques.
Les perspectives pour l’avenir
Malgré ces difficultés, l’industrie du tourisme reste optimiste quant à son redressement. Avec la mise en place de campagnes de vaccination à l’échelle mondiale et l’amélioration des protocoles de sécurité, les voyages devraient progressivement reprendre.
Les experts prévoient une reprise progressive du tourisme à partir de la seconde moitié de 2021. Cependant, il faudra du temps pour que l’industrie retrouve son niveau d’avant la pandémie. Les voyages d’affaires pourraient prendre plus de temps à reprendre, tandis que les voyages de loisirs pourraient être favorisés, avec une demande accrue pour les destinations moins densément peuplées.
Les acteurs du secteur doivent également s’adapter aux nouvelles attentes des voyageurs. Les mesures sanitaires et la sécurité seront désormais des critères essentiels dans le choix des destinations. Les voyages durables et respectueux de l’environnement seront également privilégiés.
En conclusion, la pandémie de COVID-19 a eu des conséquences dramatiques sur l’industrie du tourisme, avec une chute considérable du nombre de touristes et des pertes financières importantes. Cependant, l’industrie reste optimiste quant à son redressement, en misant sur une reprise progressive à partir de la seconde moitié de 2021 et en répondant aux nouvelles attentes des voyageurs.