Go First : Un financement supplémentaire menacé, selon les informations
Les prêteurs de la compagnie aérienne ne sont pas favorables à injecter davantage de liquidités en raison des récents développements, ce qui remet en question le financement supplémentaire de Go First.
Selon des informations récentes, Go First, une compagnie aérienne régionale indienne, fait face à des difficultés pour obtenir du financement supplémentaire. Les prêteurs de la compagnie, peu convaincus par les développements récents, ne sont pas favorables à cette injection de liquidités.
Ces nouvelles sont un revers pour Go First, qui prévoyait d’obtenir un financement supplémentaire pour faire face à la crise du secteur aérien causée par la pandémie de COVID-19. La compagnie a besoin de ces liquidités pour poursuivre ses opérations et relancer sa croissance.
Go First, anciennement connue sous le nom de GoAir, avait déjà reçu un financement de 35 millions de dollars en janvier 2023 pour soutenir ses activités. Cependant, il semble que les prêteurs ne soient pas enclins à accorder une nouvelle tranche de financement dans le contexte actuel.
Les raisons qui poussent les prêteurs à se montrer réticents ne sont pas connues pour le moment. Cependant, il est possible que les récents développements économiques et les incertitudes liées à l’industrie aérienne en Inde aient influencé leur décision.
Ces informations surviennent alors que Go First cherche également à renforcer ses opérations en augmentant sa flotte d’avions. La compagnie a déjà passé des commandes auprès de constructeurs comme Airbus, mais l’obtention de financement supplémentaire serait essentielle pour concrétiser ces projets.
Les responsables de Go First n’ont pas encore commenté cette situation, mais il est clair que le financement supplémentaire est crucial pour la survie et la croissance de la compagnie aérienne en cette période difficile pour l’industrie du voyage.
Il est important de souligner que Go First n’est pas la seule compagnie à rencontrer des difficultés financières. De nombreuses compagnies aériennes dans le monde entier ont été durement touchées par la pandémie de COVID-19 et l’évolution du secteur aérien.
Cela souligne l’urgence d’une intervention de la part des autorités compétentes pour soutenir les compagnies aériennes en difficulté et assurer la viabilité à long terme de ce secteur vital de l’économie.
La compagnie aérienne Go First fait face à de sérieux problèmes financiers
Go First, la compagnie aérienne à bas coût indienne, qui a suspendu ses opérations en mai de cette année, est confrontée à de nouveaux problèmes, alors que ses prêteurs ne sont pas en faveur d’un financement supplémentaire. L’entreprise en difficulté espère obtenir une injection de liquidités pour relancer ses activités, mais les récents développements et les conflits avec ses bailleurs d’avions et de moteurs ont ébranlé la confiance de ses créanciers.
Les prêteurs de Go First sont mécontents de l’évolution de la situation et ne souhaitent pas fournir de financement supplémentaire à la compagnie. Lorsque Go First a suspendu ses opérations en mai, elle espérait les relancer à plus petite échelle avec le soutien financier de ses créanciers. Cependant, selon le dernier rapport de Reuters, le Comité des créanciers (CoC) réuni le 6 novembre est maintenant hésitant à débloquer davantage d’argent pour la compagnie. La situation a beaucoup changé ces derniers mois et l’avenir semble sombre pour Go First.
Go First avait sollicité des expressions d’intérêt de la part d’entités souhaitant investir dans la compagnie aérienne et lui redonner un nouvel élan. Des informations ont fait état de certains enchérisseurs potentiels, notamment des compagnies aériennes étrangères et le groupe indien Jindal Power, mais rien ne s’est concrétisé jusqu’à présent. Si la compagnie n’obtient pas d’offre avec succès, des discussions sur les liquidations pourraient bientôt commencer.
Les récents changements apportés aux règles de faillite des compagnies aériennes ont suscité l’inquiétude des créanciers. Ces modifications stipulent que la protection ne sera pas étendue aux avions loués par une compagnie aérienne. L’autorité de l’aviation indienne, la DGCA, a également déclaré devant la justice que ces changements pourraient être appliqués aux cas en attente, comme celui de Go First. La compagnie est déjà en conflit avec ses bailleurs, qui souhaitent récupérer les avions et craignent pour leur entretien général sous la responsabilité de Go First. Si les avions sont effectivement retournés aux bailleurs, le chemin vers la reprise de Go First serait très difficile.
En plus de la difficulté à conserver ses avions, Go First doit également faire face à des départs d’employés. De nombreux pilotes et membres d’équipage ont déjà quitté l’entreprise. Ceux qui sont restés réclament des compensations impayées et voient leur avenir de manière incertaine. En l’absence d’un acheteur potentiel et sans engagement des prêteurs à injecter davantage de liquidités, la patience des employés restants de Go First semble s’épuiser rapidement.
JetBlue a récemment annoncé que la compagnie aérienne avait envisagé d’acheter Alaska Airlines. Cependant, le PDG de JetBlue, M. Robin Hayes, a précisé que cette option n’était plus d’actualité. JetBlue reste néanmoins ouvert à de futures opportunités de partenariat dans le secteur de l’aviation.
La compagnie Edelweiss a décidé de doubler ses vols à destination de l’aéroport international de Tampa. Cette décision fait suite à la forte demande pour cette destination touristique et vise à répondre aux besoins croissants des voyageurs. Edelweiss propose désormais plus de vols et de possibilités de voyages à ses clients.
L’entreprise ITA Airways a annoncé qu’elle allait opérer jusqu’à trois vols quotidiens entre Milan et l’aéroport de London City. Cette nouvelle liaison offrira aux passagers une option pratique pour se rendre dans une des capitales financières européennes les plus dynamiques. Les vols réguliers faciliteront les déplacements d’affaires et de loisirs entre les deux villes.
Les 10 vols turboprop les plus longs aux États-Unis cet hiver
Une liste a révélé les 10 vols en turboprop les plus longs aux États-Unis cet hiver. Parmi ces vols figurent des trajets reliant des destinations populaires telles que Miami, New York et Las Vegas. Les distances parcourues témoignent de l’efficacité des avions turbopropulsés dans les vols de moyenne et longue distance.
Un Airbus A220 d’airBaltic pour SWISS rencontre des difficultés à Düsseldorf
Un avion airBaltic Airbus A220 a été contraint de revenir à Zurich après quatre tentatives d’atterrissage infructueuses à Düsseldorf. Les conditions météorologiques difficiles ont posé des problèmes lors de l’approche finale de l’aéroport. Les passagers ont été réacheminés vers leur destination par des moyens alternatifs.
Qatar Airways célèbre cette année son 10e anniversaire en tant que membre de l’alliance oneworld. Cette adhésion a permis à Qatar Airways de renforcer son réseau mondial et d’offrir à ses clients davantage d’options de voyage. La compagnie aérienne continue de collaborer avec les autres membres de l’alliance pour proposer des services de qualité.
| Rang | Compagnie aérienne | Origine | Destination | Distance |
|---|---|---|---|---|
| 1 | Compagnie A | Miami | New York | 800 miles |
| 2 | Compagnie B | Los Angeles | Las Vegas | 700 miles |
| 3 | Compagnie C | Chicago | Dallas | 600 miles |
| Nom de la compagnie | Pays d’origine |
|---|---|
| Qatar Airways | Qatar |
| American Airlines | États-Unis |
| British Airways | Royaume-Uni |