Le retour en service de l’Airbus A350 immatriculé A7-ALF marque la fin officielle d’un litige très long et dramatique concernant la dégradation de la peinture.
Discrètement remis en service, A7-ALF a marqué la fin d’une longue dispute entre Qatar Airways et Airbus. Après environ deux ans et demi d’inactivité, l’A350 a de nouveau transporté des passagers le 7 février. Avec les A350 immobilisés désormais de retour en service, Qatar Airways peut enfin tourner la page de cette saga de dégradation de surface.
Le vol QR3255 de Qatar Airways effectué le 7 février par un Airbus A350-900 de Shannon à Doha a marqué un moment significatif. Le retour de cet avion à Doha (et sa remise en service ultérieure) pourrait être considéré comme la conclusion du long et dramatique litige concernant la dégradation de surface entre la compagnie aérienne et Airbus.
Ainsi, l’A350 d’Airbus, A7-ALF, a repris ses activités de manière discrète, mettant ainsi un point final à une période turbulente pour Qatar Airways. Ce retour en service témoigne de la résolution des différends entre les partenaires concernés.
Barème de la Saga de la Reprise de l’Airbus A350
| Événement | Date |
| Retour en service de l’A350 A7-ALF | 7 février |
| Vol QR3255 de Shannon à Doha | 7 février |
Après une inactivité d’environ deux ans et demi, un avion de Qatar Airways, marqué comme ‘stocké’ depuis juin 2021, est finalement de retour dans les airs. Immatriculé A7-ALF, cet Airbus A350 avait été mis à l’arrêt par l’autorité de l’aviation civile du Qatar en raison de préoccupations concernant la sécurité liées à une importante dégradation de la surface.
Le 22 décembre 2023, l’avion a été envoyé en Irlande pour des travaux de peinture avant de revenir en service le 16 février. Un vol d’essai de 90 minutes au-dessus des eaux au large de Doha a précédé le premier vol commercial vers Jeddah.
Ce retour en service marque la fin d’un long différend entre Airbus et Qatar Airways, débuté en novembre 2020 avec l’airframe A7-ALL. Après une résolution début 2023, les avions nécessitant des travaux de peinture ont été envoyés à Shannon tout au long de l’année.
La résolution du conflit entre Airbus et Qatar Airways en quelques étapes :
- Novembre 2020: Début du différend avec l’airframe A7-ALL
- Début 2023: Règlement du différend entre Airbus et Qatar Airways
- Février 2023: Début des travaux de peinture à Shannon pour les avions concernés
Actuellement, seuls deux A350 de Qatar Airways, A7-ANA et A7-AMK, demeurent ‘stockés’ selon Planespotters.net. Tous les avions concernés par la dégradation de la surface ont été repeints et sont de nouveau utilisés pour des vols commerciaux, marquant ainsi la fin d’une saga longue et ardue pour la compagnie aérienne.
L’Hawaiian Airlines a récemment organisé une cérémonie de bienvenue pour célébrer l’arrivée de son premier Boeing 787 Dreamliner. Cet avion flambant neuf marque un nouveau chapitre dans l’histoire de la flotte de la compagnie aérienne hawaïenne.
Emirates a récemment conclu un partenariat avec les quatre principaux tournois de tennis du Grand Chelem, suite à un accord avec Wimbledon. La compagnie aérienne est désormais le transporteur officiel d’un des plus anciens tournois de tennis au monde.
De son côté, China Southern Airlines a été au cœur d’une controverse après avoir refusé d’embarquer un passager handicapé voyageant seul. Cette décision a suscité de vives réactions et a mis en lumière les questions d’accessibilité dans le secteur aérien.
En revanche, un événement moins positif a eu lieu avec Alaska Airlines, où un passager a été accusé d’agression pour une prétendue attaque au couteau à bord du vol 604. Cet incident souligne les défis en matière de sécurité auxquels les compagnies aériennes peuvent être confrontées.
Le gouvernement a annoncé de nouvelles mesures critiqué par l’opposition. En effet, le projet de loi présenté par le ministre de l’intérieur suscite de vifs débats au sein de l’Assemblée nationale. Les députés de l’opposition ont vivement attaqué le texte, dénonçant une atteinte aux libertés individuelles.
Contenu controversé
Le texte controversé prévoit une surveillance accrue des communications en ligne, au nom de la lutte contre le terrorisme. Cette mesure a soulevé de nombreuses inquiétudes parmi les associations de défense des libertés individuelles.
Réactions politiques
Face à la contestation, le gouvernement se défend et affirme que ces mesures sont nécessaires pour garantir la sécurité nationale. Le ministre de l’intérieur a réaffirmé sa détermination à lutter contre le terrorisme, tout en respectant les droits fondamentaux des citoyens.
Prochaines étapes
Le texte sera soumis au vote dans les prochains jours. Les experts juridiques et les associations de défense des libertés appellent à une mobilisation citoyenne pour faire entendre leurs voix. L’issue de ce débat reste incertaine, mais il promet d’animer les prochains jours au sein de l’Assemblée nationale.
