Un nouveau scanner d’aéroport pourrait rendre le retrait des ceintures et des chaussures obsolète
Un nouveau scanner de sécurité appelé Sequestim promet de réduire les longues files d’attente dans les aéroports. Ce dispositif révolutionnaire utilise une technologie avancée pour détecter les objets prohibés sur les passagers sans qu’ils aient besoin de se débarrasser de leurs ceintures et de leurs chaussures.
Une expérience de voyage plus fluide
Le scanner Sequestim pourrait bien révolutionner l’expérience de voyage pour les passagers. En éliminant l’étape fastidieuse de retirer les ceintures et les chaussures, il permettrait aux passagers de passer plus rapidement les contrôles de sécurité.
Comment fonctionne le scanner Sequestim ?
Le scanner Sequestim utilise une technologie de détection avancée appelée technologie de détection passive. Cette technologie est capable de détecter les objets dissimulés sur le corps des passagers sans qu’ils aient besoin de se déshabiller partiellement.
Le scanner utilise des ondes millimétriques pour détecter les variations de densité corporelle. Les objets interdits ou suspects, tels que les armes ou les explosifs, peuvent être repérés grâce à ces variations. Les résultats de la détection sont analysés en temps réel, permettant aux agents de sécurité d’intervenir si nécessaire.
Les avantages du scanner Sequestim
Le scanner Sequestim présente de nombreux avantages par rapport aux scanners traditionnels. En plus de réduire les files d’attente, il permet également une meilleure expérience pour les passagers, évitant ainsi des situations potentiellement gênantes comme celle de devoir se déshabiller partiellement devant d’autres voyageurs.
De plus, grâce à la technologie de détection passive, le scanner Sequestim est capable de détecter des objets qui pourraient échapper aux scanners traditionnels. Cela renforce la sécurité dans les aéroports et réduit les risques d’attentats.
Conclusion
Le scanner Sequestim offre une perspective positive pour l’amélioration des contrôles de sécurité dans les aéroports. Avec sa technologie de détection passive avancée, il pourrait réduire considérablement les files d’attente et offrir une expérience de voyage plus fluide et sécurisée pour les passagers. Cependant, il est important de souligner que la mise en place de ce nouveau scanner nécessitera une coordination étroite entre les autorités aéroportuaires et les compagnies aériennes pour assurer une mise en œuvre efficace.
Une nouvelle technologie de scanner de sécurité aéroportuaire promet de réduire les files d’attente pour les passagers. Le scanner, développé par Sequestim en collaboration avec Rapiscan Systems, utilise une technologie spatiale avancée qui permet de détecter les objets dissimulés à travers la chaleur émise par le corps humain. Cette innovation promet des temps de traitement de sécurité plus courts et une expérience de sécurité révolutionnée, offrant ainsi aux passagers plus de temps pour profiter des commodités de l’aéroport.
Les scanners Sequestim détectent les objets cachés en utilisant la chaleur du corps humain comme une lampe. Ils peuvent facilement détecter et identifier des objets dissimulés, même à travers des vêtements épais. Grâce à l’imagerie térahertz, le scanner peut effectuer un dépistage à une fréquence de 300 gigahertz, une fréquence plus élevée que les scanners de sécurité corporelle actuellement utilisés dans les aéroports. Cela permet aux passagers de garder leurs chaussures, leurs ceintures et leurs manteaux, et de simplement passer à travers le scanner sans toutes les tracasseries habituelles.
Ces machines seront utilisées uniquement pour le contrôle des passagers, car elles ne peuvent pas voir à travers les bagages. Cependant, pour la détection des armes dissimulées, des produits de contrebande et d’autres objets, cette nouvelle technologie semble prometteuse. De plus, contrairement aux scanners corporels utilisés aujourd’hui, aucun rayonnement ne sera dirigé vers le passager, et personne n’aura besoin de voir les images. Le scanner sera capable de détecter les menaces lui-même.
Le scanner Sequestim utilisera l’intelligence artificielle (IA) pour détecter et reconnaître les menaces, mais avant cela, il devra apprendre ce qui est normal et ce qui ne l’est pas. Pour ce faire, Sequestim souhaite mettre en place son scanner pour commencer le processus d’éducation, permettant à l’IA de collecter des données étendues sur les passagers aériens en situation réelle. La société est en pourparlers avec des aéroports au Royaume-Uni pour organiser cela et affirme que, dans un aéroport très fréquenté, deux semaines pourraient être suffisantes pour collecter toutes les données nécessaires.
Selon des recherches effectuées par Bounce, le temps d’attente moyen aux points de contrôle de la TSA dans les aéroports américains en 2023 était d’environ 23 minutes, mais cela pouvait atteindre une heure ou plus aux heures de pointe. Les pénuries de personnel ont un impact sur la rapidité avec laquelle les passagers peuvent être traités, et en les libérant de la nécessité de se préparer pour le contrôle, cela permettrait de soulager une grande partie de la pression sur la TSA et les autres forces de sécurité.
La ligne aérienne British Airways basée à l’aéroport de Heathrow augmentera son temps de correspondance minimum à partir du 9 janvier 2024, passant de 60 à 75 minutes. Cela est conçu pour offrir plus de marge aux passagers, car les retards à l’immigration et à la sécurité peuvent les amener à manquer leurs correspondances serrées.
Avec des prévisions de doublement du nombre de passagers dans les 20 prochaines années, le scanner Sequestim promet de réduire les temps d’attente à l’aéroport, de révolutionner l’expérience de sécurité et de donner aux voyageurs plus de temps pour profiter des boutiques et restaurants de l’aéroport, tout en permettant aux forces de sécurité de maintenir la sécurité des passagers.
US DOT approuve les plaintes concernant les réductions de capacité à Amsterdam Schiphol
Le département américain des transports (US DOT) a approuvé les plaintes déposées contre l’aéroport d’Amsterdam Schiphol en raison de ses réductions de capacité. Les transporteurs aériens ont signalé une baisse significative du nombre de créneaux horaires disponibles à l’aéroport, ce qui limite leur capacité à opérer efficacement.
Aeroflot veut reproduire les pièces d’Airbus et Boeing
Aeroflot, la compagnie aérienne russe, souhaite développer ses propres pièces détachées pour les avions de la famille Airbus et Boeing. Cette initiative vise à réduire les coûts d’entretien et de maintenance des avions de la flotte d’Aeroflot, tout en renforçant son autonomie en matière de pièces de rechange.
Turkish Airlines prévoit jusqu’à 23 vols quotidiens vers les États-Unis en 2024
Turkish Airlines envisage d’augmenter considérablement son nombre de vols vers les États-Unis d’ici 2024, avec jusqu’à 23 vols quotidiens. Cette expansion reflète la stratégie de la compagnie aérienne turque visant à renforcer sa présence sur le marché américain et à répondre à la demande croissante des voyageurs.
Changement à l’aéroport de Singapour Changi Terminal 2
L’aéroport de Changi à Singapour a dévoilé une rénovation de son terminal 2. Les améliorations comprennent une mise à jour des infrastructures, des espaces commerciaux modernisés et des installations améliorées pour offrir une meilleure expérience aux passagers.
Tableau des vols quotidiens prévus par Turkish Airlines en 2024 :
| Destination | Nombre de vols quotidiens |
|---|---|
| New York | 6 |
| Los Angeles | 4 |
| Chicago | 3 |
| Miami | 2 |
| San Francisco | 2 |
| Washington, D.C. | 2 |
| Houston | 1 |
| Atlanta | 1 | Boston | 1 |
| Seattle | 1 |
Passagers poursuivent Alaska Airlines suite à un incident avec un pilote hors service
Plusieurs passagers ont décidé de poursuivre en justice Alaska Airlines après un incident survenu lors d’un vol récent. Lors du trajet, un pilote hors service a provoqué un véritable drame dans le moteur de l’avion, semant la panique parmi les passagers. Les voyageurs, qui ont subi un stress intense, exigent aujourd’hui des réponses et réclament des compensations pour cet événement inquiétant.
Le XB-70 Valkyrie : pourquoi est-il devenu obsolète si rapidement ?
Le North American XB-70 Valkyrie, un avion stratégique supersonique développé dans les années 1950, a été rapidement déclassé. Mais quelles sont les raisons derrière cette obsolescence prématurée ? Des experts en aéronautique soulignent plusieurs facteurs qui ont contribué à la mise à l’écart de cet appareil prometteur.
Les raisons de la poursuite en justice
Les passagers qui ont vécu l’incident dramatique à bord de l’avion d’Alaska Airlines estiment que la compagnie aérienne doit prendre ses responsabilités. Le pilote hors service aurait dû être mieux encadré et ne pas avoir accès aux commandes de l’appareil. De plus, les passagers reprochent à la compagnie un manque de communication et d’assistance pendant et après l’incident.
Les conséquences sur les voyageurs
Cet événement a eu un impact considérable sur les passagers. Certains d’entre eux ont été traumatisés par la situation et souffrent aujourd’hui de stress post-traumatique. D’autres ont subi des retards importants dans leur emploi du temps et ont perdu des opportunités professionnelles. Les passagers exigent donc des indemnisations financières pour compenser les dommages subis.
L’obsolescence du XB-70 Valkyrie
Malgré son potentiel révolutionnaire, le XB-70 Valkyrie a connu plusieurs obstacles qui ont entraîné sa mise à l’écart rapide. Tout d’abord, les coûts de développement et de maintenance étaient extrêmement élevés, rendant son utilisation peu rentable. De plus, avec l’avancée des missiles balistiques intercontinentaux, la nécessité d’un avion supersonique de ce type a diminué.
Tableau des raisons de l’obsolescence du XB-70 Valkyrie
| Raisons | Conséquences |
|---|---|
| Coûts élevés de développement et de maintenance | Rend l’utilisation de l’appareil peu rentable |
| Avancée des missiles balistiques intercontinentaux | Réduit la nécessité d’un avion supersonique |
Conclusion
Ces deux événements, bien que différents, mettent en évidence les défis auxquels peuvent être confrontés les passagers et les fabricants d’avions. Les passagers doivent pouvoir compter sur des compagnies aériennes responsables et sécurisées, tandis que les avionneurs doivent constamment innover pour répondre aux besoins évolutifs de l’industrie aéronautique.
