Un passager ouvre et tombe à travers la porte d’un Boeing 777, retardant un vol d’Air Canada de 6 heures
Un vol d’Air Canada à destination de Dubaï a été retardé de plusieurs heures après qu’un passager ait ouvert et est tombé à travers une porte d’un Boeing 777-300ER. L’incident s’est produit à l’aéroport international de Toronto Pearson (YYZ). Selon les informations de Global News, le passager était monté à bord de l’avion sans signes de détresse. Cependant, au lieu de se diriger vers son siège, il a ouvert une porte située de l’autre côté de la cabine et est tombé sur le tarmac, se blessant au passage. Les services d’urgence ont immédiatement pris en charge le passager et l’ont transporté à l’hôpital pour recevoir des soins.
La Greater Toronto Airports Authority (GTAA), en collaboration avec la compagnie aérienne, la police régionale de Peel et les services d’urgence de Peel, a apporté un soutien dans la gestion de cette situation. Les détails exacts des motivations du passager restent encore inconnus.
La porte ouverte a entraîné un retard de plusieurs heures pour le vol d’Air Canada à destination de Dubaï. Les autres passagers ont dû patienter jusqu’à ce que les autorités puissent vérifier le bon fonctionnement de la porte et s’assurer de la sécurité de l’avion.
Cet incident soulève de sérieuses questions sur les mesures de sécurité à bord des avions. Il est crucial que les compagnies aériennes et les autorités continuent de travailler ensemble pour garantir la sûreté et la sécurité des passagers. Ce genre d’incident peut avoir des conséquences graves, tant pour les passagers que pour l’équipage.
Malheureusement, ce n’est pas la première fois qu’un tel incident se produit. En 2018, un passager d’un vol Southwest Airlines a été partiellement aspiré à l’extérieur de l’avion après la décompression de la cabine. Des mesures doivent être prises pour renforcer les dispositifs de sécurité et prévenir ce genre de situations.
En conclusion, cet incident regrettable a entraîné un retard de plusieurs heures pour un vol d’Air Canada à destination de Dubaï. L’ouverture de la porte par un passager a suscité des préoccupations en matière de sécurité aérienne et souligné l’importance de renforcer les mesures de sécurité pour prévenir de tels incidents à l’avenir.
Un incident inhabituel s’est produit à l’aéroport international Pearson de Toronto le 8 janvier 2024. Un passager d’un vol d’Air Canada à destination de Dubaï a ouvert une porte de cabine en plein vol. Heureusement, aucun passager n’a été blessé lors de cet incident, mais plusieurs personnes ont eu des difficultés respiratoires à mesure que l’avion se rapprochait de l’aéroport de Dubaï.
Le vol AC 56, opéré par un Boeing 777-300ER, devait initialement décoller à 21h35 le 8 janvier, mais en raison de cet incident, il a été retardé jusqu’à 3h27 le 9 janvier, atterrissant finalement à Dubaï tôt le matin du 10 janvier. Le vol suivant prévu pour le 9 janvier a également été retardé et a finalement décollé à 7h01 pour arriver à Dubaï le 11 janvier.
Le passager indiscipliné a été appréhendé et amené dans une installation de soins médicaux pour ses blessures mineures. Il est à noter que ce n’est pas la première fois qu’un incident de ce type se produit. En mai 2023, un passager d’un vol d’Asiana Airlines a également ouvert une porte de cabine pendant le vol, provoquant des problèmes de pressurisation dans l’avion.
Après cet incident, Asiana Airlines a pris des mesures préventives en arrêtant de vendre des sièges près des portes de secours de ses avions. Air Canada, quant à elle, n’a pas fait de commentaire sur d’éventuelles mesures de sécurité supplémentaires qui pourraient être mises en place suite à cet incident.
Le Boeing 777-300ER impliqué dans cet incident, immatriculé C-FIUV, a depuis repris ses vols. Il a récemment opéré un vol d’Air Canada à destination de Tokyo et devrait revenir à l’aéroport de Toronto le 11 janvier.
Il est important de souligner que l’ouverture d’une porte de cabine en plein vol est une infraction grave et constitue une menace pour la sécurité des passagers et de l’équipage. Les compagnies aériennes doivent continuer à mettre en place des mesures de sécurité strictes pour prévenir de tels incidents à l’avenir.
L’entreprise sud-africaine South African Airways a annoncé son intention de relancer la liaison entre Johannesburg et Perth, en Australie. Cette décision soulève quelques interrogations quant à sa pertinence. En effet, la compagnie avait déjà suspendu cette route en 2016 en raison de problèmes financiers. Toutefois, SAA affirme que le marché entre les deux villes s’est considérablement développé depuis lors, justifiant ainsi cette reprise.
Par ailleurs, la compagnie aérienne colombienne Avianca a dévoilé son intention de lancer une seconde route canadienne vers Montréal. Cette initiative s’inscrit dans sa volonté d’étendre son réseau en Amérique du Nord. Avianca espère ainsi attirer davantage de voyageurs en provenance et en direction du Canada, renforçant ainsi sa présence sur ce marché compétitif.
En revanche, United Airlines prendra une décision radicale cet été en suspendant temporairement cinq liaisons domestiques. Cette mesure intervient dans le but de rationaliser ses opérations et de s’adapter à la demande dans un contexte économique incertain. Les itinéraires touchés sont ceux reliant Chicago à Sacramento, Indianapolis à San Francisco, Newark à Memphis, Newark à Des Moines et Washington Dulles à Miami.
L’analyse des données prévoit une augmentation significative de l’utilisation des avions Airbus A220-300 d’ici 2024. Les cinq principales compagnies aériennes qui exploiteront cette flotte seront Delta Air Lines, Air Canada, Swiss International Air Lines, JetBlue Airways et Air Baltic. Ces avions offrant une grande efficacité énergétique et une expérience de vol supérieure, les transporteurs cherchent à moderniser leur flotte pour répondre aux besoins des passagers.
Enfin, les actionnaires d’Alaska Airlines se prononceront sur l’acquisition éventuelle d’Hawaiian Airlines. Les deux compagnies aériennes hawaïennes ont engagé des discussions en vue d’une fusion qui créerait une puissance régionale majeure dans le Pacifique. Si l’accord est approuvé, cela permettrait à Alaska Airlines de renforcer sa présence à Hawaï et d’étendre son réseau vers d’autres destinations touristiques populaires de la région.