US Customs & Border Preclearance dans les aéroports irlandais :
L’Irlande est une destination prisée des touristes américains, avec les passagers arrivant de Dublin et Shannon autorisés à atterrir aux États-Unis en tant que passagers domestiques. Ce système de précontrôle douanier et frontalier permet aux voyageurs de procéder aux formalités d’immigration avant leur départ, ce qui facilite leur arrivée aux États-Unis. Voici tout ce que vous devez savoir sur le précontrôle douanier et frontalier dans les aéroports irlandais.
Quels aéroports irlandais proposent le précontrôle douanier et frontalier ?
Les aéroports de Dublin et Shannon sont les seuls aéroports irlandais proposant le précontrôle douanier et frontalier pour les vols à destination des États-Unis. Cela signifie que les voyageurs peuvent passer par les formalités d’immigration et de douane irlandaises avant leur départ, et une fois arrivés aux États-Unis, ils seront traités comme des passagers domestiques.
Quels sont les avantages du précontrôle douanier et frontalier ?
Le précontrôle douanier et frontalier présente plusieurs avantages pour les voyageurs. Tout d’abord, cela permet d’éviter de longues files d’attente à l’arrivée aux États-Unis, car les formalités ont déjà été effectuées avant le départ. De plus, cela facilite la connexion avec les vols intérieurs aux États-Unis, car les passagers sont déjà traités comme des passagers domestiques.
Comment fonctionne le précontrôle douanier et frontalier dans les aéroports irlandais ?
Lorsque vous arrivez à l’aéroport de Dublin ou Shannon pour prendre votre vol vers les États-Unis, vous devrez vous rendre dans une zone dédiée au précontrôle douanier et frontalier. Vous devrez alors présenter votre passeport et répondre à quelques questions de l’officier d’immigration. Vos bagages seront également scannés et vous devrez passer par les contrôles de sécurité habituels. Une fois ces formalités terminées, vous serez autorisé à embarquer à bord de votre vol en direction des États-Unis.
Quelles sont les restrictions et les exigences pour le précontrôle douanier et frontalier ?
Il est important de noter que toutes les règles et réglementations américaines s’appliquent toujours, même si vous passez par le précontrôle douanier et frontalier en Irlande. Vous devez donc vous conformer aux restrictions sur les liquides, les objets pointus, etc. De plus, toutes les règles de l’immigration et de la douane américaine s’appliqueront à votre arrivée aux États-Unis. Assurez-vous donc d’être bien informé des exigences avant votre voyage.
Conclusion
Le précontrôle douanier et frontalier dans les aéroports irlandais est un avantage considérable pour les voyageurs à destination des États-Unis. Cela permet d’économiser du temps à l’arrivée et de faciliter la connexion avec les vols intérieurs. Toutefois, il est important de se conformer aux règles et réglementations américaines pour éviter tout problème lors de l’entrée aux États-Unis.
Le précontrôle aux aéroports irlandais : une option pratique pour les voyageurs vers les États-Unis
Savez-vous que les passagers voyageant vers les États-Unis depuis l’Irlande peuvent effectuer leur contrôle douanier et d’immigration à la fois à l’aéroport de Dublin et à l’aéroport de Shannon ? Situés stratégiquement dans des aéroports étrangers qui voient passer de nombreux voyageurs se rendant aux États-Unis, le précontrôle peut vous faire gagner un temps considérable.
Pourquoi ouvrir deux installations des douanes et de la protection des frontières dans des aéroports irlandais ? En passant par le contrôle douanier et d’immigration américain avant votre départ, votre vol arrive aux États-Unis comme s’il s’agissait d’un vol intérieur plutôt qu’international. Grâce à cela, vous n’avez pas besoin de faire la queue dans ces longues files d’attente avec tous les autres voyageurs arrivant de l’étranger. Le précontrôle dans les aéroports étrangers permet également aux vols d’atterrir dans des aéroports qui ne disposent pas d’installations de douanes et d’immigration américaines.
Un aperçu de l’histoire de l’aviation en Irlande
Pour comprendre pourquoi une installation des douanes et de la protection des frontières a été ouverte à Dublin et à Shannon, il faut remonter aux événements du XIXe siècle. L’émigration vers les États-Unis depuis l’Irlande a atteint son apogée entre 1845 et 1852 pendant la Grande Famine. On estime que plus de deux millions de personnes, soit près d’un quart de la population totale, ont émigré vers les États-Unis.
Grâce à cette émigration massive, plus de 31,5 millions d’Américains déclarent aujourd’hui être d’origine irlandaise. En raison de cela, des millions d’Américains visitent l’île d’émeraude chaque année pour des vacances.
Gagner du temps à Shannon
Les États-Unis et l’Irlande ont convenu d’une installation de précontrôle en Irlande en 1986. La première a été ouverte à l’aéroport de Shannon en 1988, et à l’aéroport de Dublin six ans plus tard. Initialement, les passagers ne pouvaient passer que par l’immigration américaine, ce qui signifiait qu’ils devaient encore faire les formalités douanières à leur arrivée.
Le 4 août 2009, Shannon est devenu le premier aéroport en dehors des Amériques à offrir le précontrôle complet d’immigration et de douane aux États-Unis, ce qui a permis aux passagers de débarquer de manière transparente comme s’ils avaient pris un vol intérieur. Cela a considérablement réduit les files d’attente à l’arrivée aux États-Unis, offrant aux voyageurs une expérience plus fluide et agréable.
L’aéroport de Shannon en Irlande est devenu le premier aéroport de la région regroupant l’Europe et le Moyen-Orient à permettre aux passagers à destination des États-Unis de pré-vérifier l’agriculture, les douanes et les contrôles d’immigration, éliminant ainsi tout autre traitement à l’arrivée aux États-Unis et leur faisant gagner un temps considérable. Les premières compagnies aériennes à utiliser l’aéroport de Shannon au début de la pré-vérification américaine en 2009 étaient US Airways (maintenant American Airlines), Continental (maintenant United Airlines), Delta, Aer Lingus et British Airways.
L’année suivante, l’aéroport de Shannon est devenu le premier aéroport au monde à offrir une pré-vérification complète des jets d’affaires à destination des États-Unis. L’aéroport était également le lieu d’un arrêt technique sur le vol Londres City-New York de British Airways. Cette route permettait aux passagers du vol tout classe affaires de passer la douane pendant le ravitaillement de l’avion pour atterrir aux États-Unis en tant que passagers domestiques.
En 2011, l’aéroport de Dublin, le plus fréquenté d’Irlande, a suivi avec des installations de pré-vérification complètes. La zone est située près des 400 portes du Terminal 2 et dispose d’une borne d’entrée mondiale et d’un centre d’inscription. Actuellement, les passagers des jets privés et d’affaires ne peuvent pas utiliser les installations de pré-vérification à l’aéroport de Dublin, car elles sont réservées uniquement aux passagers réservés sur des vols commerciaux.
L’Irlande n’est pas le seul endroit à l’étranger où les passagers peuvent passer les douanes américaines. L’agence des douanes et de la protection des frontières (CBP) compte 600 agents travaillant dans les aéroports étrangers suivants: Dublin Airport et Shannon Airport en Irlande, Queen Beatrix International Airport à Aruba, L.F. Wade International Airport à Bermuda, Lynden Pindling International Airport aux Bahamas et Abu Dhabi International Airport aux Émirats arabes unis.
En 2019, le CBP a traité plus de 22 millions de passagers dans tous les lieux de pré-vérification dans le monde, ce qui représente environ 16% de tous les voyageurs aériens commerciaux à destination des États-Unis.
Le programme de pré-vérification continue de s’étendre. Il est prévu que l’aéroport de Toronto à l’aéroport Billy Bishop et l’aéroport d’Édimbourg en Écosse rejoignent le réseau de pré-vérification dans les prochaines années. Bruxelles Airport a également signé un accord pour ouvrir la première installation de pré-vérification en Europe continentale, mais aucune date de début n’a encore été confirmée.
Pour rejoindre le réseau de pré-vérification, les aéroports intéressés et leurs gouvernements doivent remplir leur demande respective, puis les combiner et les soumettre au CBP. Le CBP et ses partenaires gouvernementaux américains évaluent ensuite les candidats et le gouvernement hôte négocie et signe des accords bilatéraux avec le CBP et l’Administration de la sécurité des transports (TSA).
En résumé:
Pays | Aéroports avec pré-vérification |
---|---|
Irlande | Dublin Airport (DUB) et Shannon Airport (SNN) |
Aruba | Queen Beatrix International Airport (AUA) |
Bermuda | L.F. Wade International Airport (BDA) |
Bahamas | Lynden Pindling International Airport (NAS) |
Émirats arabes unis | Abu Dhabi International Airport (AUH) |
Canada | Calgary International Airport (YYC), Toronto Pearson International Airport (YYZ), Edmonton International Airport (YEG), Halifax Stanfield International Airport (THZ), Ottawa International Airport (YOW), Vancouver International Airport (YVR), Montréal–Trudeau International Airport (YUL), Victoria International Airport (YYJ) et Winnipeg Richardson International Airport (YWG) |
Un nouvel avion pour Air Arabia : l’A321XLR de chez Airbus
Air Arabia, la compagnie aérienne basée aux Émirats arabes unis, a annoncé l’ajout de l’A321XLR à sa flotte. Cet avion de la famille A320neo d’Airbus offre une plus grande autonomie de vol, ce qui permettra à la compagnie de desservir de nouvelles destinations plus éloignées. L’A321XLR peut parcourir jusqu’à 4 700 milles marins, soit environ 8 700 kilomètres.
Cette nouvelle acquisition s’inscrit dans la stratégie d’expansion d’Air Arabia, qui cherche à développer son réseau de vols long-courriers. Avec l’A321XLR, la compagnie pourra proposer des vols vers des destinations en Europe, en Asie et même en Afrique.
L’A321XLR est également très apprécié pour son efficacité énergétique et son empreinte carbone réduite. Il est équipé de moteurs Leap-1A de CFM International, qui offrent une consommation de carburant plus faible que les modèles précédents. Cela permettra à Air Arabia de réduire ses coûts d’exploitation et de contribuer à la protection de l’environnement.
Compensation limitée pour les passagers de Ural Airlines
Les passagers du vol de Ural Airlines qui a atterri en urgence dans un champ près de Moscou n’ont reçu qu’une compensation de 1 125 dollars chacun. Cela représente une petite somme compte tenu du traumatisme qu’ils ont vécu lors de cet atterrissage d’urgence.
Le vol Ural Airlines 178, qui avait décollé de Moscou à destination de Simferopol en Crimée, a dû effectuer un atterrissage forcé suite à une ingestion de mouettes dans les moteurs. Les pilotes ont réussi à poser l’avion en toute sécurité dans un champ, évitant ainsi une catastrophe.
Bien que les passagers aient été indemnisés pour les désagréments causés par l’incident, certains estiment que la somme allouée est insuffisante. Les frais médicaux, les traumatismes psychologiques et les retards dans les voyages ultérieurs ont tous contribué à rendre cette situation plus difficile à gérer pour les passagers concernés.
Problème moteur pour un vol d’United Airlines
Un vol d’United Airlines reliant Newark à Nashville a dû retourner à l’aéroport de Newark peu de temps après le décollage en raison d’une défaillance du moteur gauche de l’Airbus A320. Les pilotes ont pris la décision de revenir à l’aéroport par mesure de sécurité.
Pas de panique à bord, les pilotes ont géré la situation avec calme et professionnalisme. Les passagers ont été débarqués en toute sécurité et ont été pris en charge par le personnel d’United Airlines.
Cet incident rappelle l’importance des contrôles et de l’entretien régulier des avions pour garantir la sécurité des passagers. Les compagnies aériennes doivent être vigilantes quant à l’état de leurs appareils et agir rapidement en cas de problème pour éviter tout incident majeur.
Un nouvel espace multi-confessionnel dans un parking de l’aéroport britannique se retrouve moqué sur les réseaux sociaux. Cette initiative, destinée à accueillir les personnes de différentes religions, a suscité des réactions sarcastiques et des moqueries sur Twitter.
Des réactions négatives
L’espace multi-confessionnel a été installé dans un parking de l’aéroport du Royaume-Uni afin de répondre aux besoins religieux des voyageurs et des employés. Cependant, la conception et l’emplacement de cet espace ont été vivement critiqués sur les réseaux sociaux.
Les utilisateurs de Twitter ont partagé des photos de l’espace, faisant remarquer son manque d’intimité et son esthétique peu inspirante. Certains ont qualifié cela d’« absurdité » et ont fait des commentaires sarcastiques sur la présence de « panneaux de prière » et de « tapis de méditation ».
Une intention louable
Même si les moqueries sont nombreuses, il est important de noter que l’intention derrière cet espace multi-confessionnel était de créer un environnement inclusif pour toutes les pratiques religieuses. L’aéroport a expliqué que cet aménagement faisait partie d’une série d’initiatives visant à répondre aux besoins divers de ses usagers.
Une conception à revoir
Malgré cela, il semble que la mise en place de cet espace ait manqué de considération pour les besoins réels des personnes pratiquant leur religion. Le manque d’intimité et l’absence de séparation claire entre les différentes aires de prière posent problème.
En prenant en compte les critiques constructives émises sur les réseaux sociaux, il serait opportun pour l’aéroport de revoir la conception de cet espace multi-confessionnel afin de le rendre plus fonctionnel et adapté aux pratiques religieuses diverses.
Importance de l’inclusivité
L’installation d’espaces multi-confessionnels dans des lieux publics est une tendance croissante qui vise à favoriser l’inclusivité et le respect de toutes les pratiques religieuses. Cependant, il est essentiel que ces initiatives soient mises en œuvre de manière réfléchie et respectueuse des besoins des personnes concernées.
En bref
L’espace multi-confessionnel récemment implanté dans le parking de l’aéroport britannique a suscité des moqueries sur les réseaux sociaux en raison de sa conception peu pratique. Bien que l’intention de créer un environnement inclusif soit louable, il est nécessaire de revoir la conception de cet espace afin de le rendre plus approprié aux différentes pratiques religieuses.