Un vol de la compagnie aérienne British Airways a récemment frôlé le désastre lorsqu’un drone, opéré de manière illégale, s’est dangereusement approché de l’appareil dans l’espace aérien britannique. Cette rencontre en altitude, qualifiée de quasiment catastrophique, s’est produite lors d’un trajet de l’Airbus A321 reliant Athènes à Londres Heathrow en janvier dernier.
D’après les informations disponibles, le drone se trouvait à une altitude ahurissante de 9 500 pieds, loin au-dessus de la limite légale pour un opération civil. Les règlements en vigueur interdisent clairement le vol de drones au-delà de 400 pieds du sol afin d’éviter de telles interférences potentiellement mortelles avec le trafic aérien. Cette transgression des normes de sécurité soulève de vives préoccupations quant à la surveillance et au contrôle de ces engins non-habités dans l’espace aérien commercial.
L’incident a été classé comme un risque de catégorie A par l’Airprox, l’organisme responsable de l’évaluation des risques dans l’espace aérien britannique. Un risque de catégorie A indique qu’une collision était extrêmement probable et que la chance a joué un rôle déterminant pour éviter l’impact. Malgré la gravité de la situation, l’opérateur du drone reste à ce jour introuvable, échappant ainsi à toute responsabilité pénale ou civile pour cet acte dangereux.
L’incident est survenu alors que l’avion effectuait son approche finale vers l’aéroport de Londres Heathrow, l’un des aérodromes les plus fréquentés au monde. Dans ces moments où les pilotes sont pleinement concentrés sur la landing, l’apparition soudaine d’un obstacle imprévu est non seulement inattendue mais également extrêmement risquée, pouvant potentiellement mener à de graves conséquences pour tous les passagers à bord ainsi que pour les personnes au sol en cas de crash.
La présence de drones à proximité des trajectoires aériennes des vols commerciaux est un problème grandissant, confrontant régulateurs et compagnies aériennes à de nouveaux défis en matière de sécurité. Alors que l’usage de drones civils connaît une croissance exponentielle pour des applications variées, depuis la photographie aérienne jusqu’à l’inspection industrielle, il devient crucial de renforcer les mesures et les sanctions pour garantir la sécurité de l’espace aérien.
Les autorités compétentes, comprenant la police et les organisateurs de l’aviation civile, poursuivent activement leurs enquêtes pour identifier le contrevenant. Cependant, malgré les avancées technologiques en matière de détection et de suivi, la localisation des pilotes de drone mal intentionnés ou négligents demeure un défi majeur. Cet incident rappelle l’urgent besoin d’une réglementation plus stricte et d’une meilleure coopération entre les autorités et les opérateurs de drones.
Voici un tableau récapitulatif des données clés mentionnées au sujet de l’incident :
| Vol | Compagnie | Appareil | Altitude du Drone | Catégorie de Risque |
|---|---|---|---|---|
| Athènes – Londres Heathrow | British Airways | Airbus A321 | 9 500 pieds | A |
Incident Aérien Majeur Évité au Royaume-Uni
Un événement qui aurait pu se transformer en tragédie s’est heureusement évité dans le ciel du Kent, au Royaume-Uni. Un Airbus A321 de British Airways, potentiellement transportant jusqu’à 180 passagers, a frôlé l’impensable lorsqu’un drone a manqué de percuter l’appareil. Ce fait, relayé en premier lieu par le Daily Mail, s’est produit approximativement à 16h25 GMT, le 3 janvier 2024.
L’A321 approchait de la station VOR de Biggin Hill (BIG VOR) près de Sevenoaks lorsque les pilotes ont aperçu un objet à droite du nez de l’avion. Vélocité du vol au-dessus de 250 mph et à une altitude d’environ 9 500 pieds, la confrontation avec le drone a été évitée de justesse alors que l’avion effectuait une manœuvre d’attente en vue de son atterrissage à l’aéroport de Londres Heathrow (LHR).
Détails du Conflit Aérien
La séparation entre l’avion et le drone n’a été que de 5 pieds. Une distance bien trop proche pour garantir la sécurité des passagers et de l’appareil. Selon le rapport d’enquête sur la sécurité de NATS, les pilotes du vol BA ont décrit l’objet comme passant « extrêmement proche sur notre côté droit », le caractérisant clairement comme un drone de petite taille.
Un porte-parole de British Airways a souligné l’importance de la question : « Nous prenons de tels sujets très au sérieux, et nos pilotes signalent les incidents afin que les autorités puissent enquêter et prendre les mesures appropriées. »
Enquête et Conséquences Potentielles
Malgré l’analyse des données radar ne montrant aucun contact primaire ou secondaire indiquant la présence d’un drone, un contact primaire seulement a été brièvement détecté sur le radar de NATS. À ce jour, l’opérateur du drone n’a pas été localisé. Selon le Air Navigation Order de 2016, l’opérateur, s’il est attrapé, pourrait être passible de jusqu’à cinq ans d’emprisonnement pour cet acte imprudent. Les autorités ne manqueront pas de sévir face à la gravité de cet incident.
Classification de l’Incident
L’Airprox a classifié l’incident comme un ‘Catégorie A‘, la plus haute catégorie de risque qui est utilisée dans des cas où la collision est hautement probable et uniquement évitée grâce à un heureux hasard ou à une manœuvre experte des pilotes.
Le drone volait bien au-delà de l’altitude légale maximale au Royaume-Uni qui est fixée à 400 pieds. Bien que cette limite soit programmée dans les drones commerciaux, des manipulations logicielles permettent d’atteindre des altitudes telles que celle observée lors de ce quasi-accident. Les raisons qui pousseraient une personne à faire voler un drone à une telle hauteur restent incertaines, mais il se pourrait qu’il s’agissait d’une tentative de capture d’images de l’avion.
Extension estivale : IndiGo dévoile six nouvelles routes domestiques
En réponse à la demande croissante de voyages intérieurs, la compagnie aérienne IndiGo est prête à élargir son réseau avec l’ajout de six nouvelles routes. Ces services débuteront progressivement à partir du 31 mars et connecteront diverses villes dans le cadre de l’expansion stratégique d’IndiGo. Ce développement vise à renforcer la connectivité régionale et à offrir plus d’options aux voyageurs. Les détails des horaires et des fréquences seront bientôt annoncés, promettant des liaisons plus fréquentes et un accès facilité entre ces destinations.
Atterrissage imprévu : un Boeing 777-200ER d’American Airlines dérouté vers Boston
Un incident inhabituel a affecté les passagers d’American Airlines lorsqu’un Boeing 777-200ER a été contraint de se dérouter vers Boston après la découverte d’une fissure dans le pare-brise alors qu’il survolait l’Atlantique. Cet incident de sécurité a occasionné une escale non planifiée et une nuitée à Boston pour les passagers, avant qu’ils ne puissent reprendre leur voyage le lendemain après-midi à bord d’un vol de remplacement. American Airlines a pris les mesures nécessaires pour assurer la sécurité de ses passagers et remplacer le pare-brise endommagé.
La FAA impose une directive de navigabilité concernant le système anti-givre du Boeing 737 MAX
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Atterrissage d’urgence à Syracuse pour un Airbus A330-200
Un grave incident a eu lieu durant un vol Delta Air Lines, où un Airbus A330-200 a dû effectuer un atterrissage d’urgence à l’aéroport de Syracuse. Selon les informations recueillies, les lumières de la piste n’étaient pas fonctionnelles au moment de l’atterrissage, mettant en péril la sécurité de l’appareil et de ses occupants. Heureusement, la manoeuvre s’est conclue sans blessures, mais l’incident soulève des questions sur les protocoles de sécurité et les mesures d’urgence dans les situations où l’équipement aéroportuaire échoue.
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Cet événement unique montre non seulement l’ampleur des liens qui peuvent se tisser entre un pilote et son métier mais aussi la passion qui anime certains professionnels de l’aviation, allant jusqu’à partager cette passion de manière grandiose avec leurs proches.
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Par ailleurs, American Airlines semble déterminée à étendre son influence sur la côte Est des États-Unis. Faisant un pari stratégique, la compagnie projette de baser plusieurs de ses avions Boeing 787 à New York. Cela pourrait signifier une augmentation de la capacité et une amélioration des services offerts aux voyageurs de et vers cette métropole essentielle.
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